DM sur Poèmes d’Edgar Allan Poe

Léane QUEROL

1e2

DM sur Poèmes d’Edgar Allan Poe

1. Quatre catégories de poèmes apparaissent.

Dans ce premier paragraphe nous allons voir les visions effrayantes, angoissantes et macabres que l’on retrouve dans les poèmes suivant « Le Palais Hanté » ; « Le Ver Vainqueur » et « La Cité en la Mer ».

Dans ce deuxième paragraphe nous allons voir les amours perdus, les « tombeaux » grâce aux poèmes « A Quelqu’un au Paradis » ; « Lénore » ; « Annabel Lee » ; « A Hélène » et « pour Annie ». Dans le poème « A Quelqu’un au Paradis » on constate l’utilisation du passé, « tu étais » montre que le poète fait appel à ses souvenirs pour parler de son amour mais il utilise aussi le futur, « ne refleurira » qui est au négatif pour dire qu’il sait qu’il ne la reverra plus. Il parle de l’espoir de la retrouver en vain mais les personnifications du « Futur » et du « Passé » l’en empêche. Dans le poème « Lénore » on remarque que le premier paragraphe est au présent et au discourt indirect. Alors que le deuxième paragraphe est au passé, ce passé est employé lors de la célébration de ka femme. Celle-ci était « aimée » et elle était « bénis » de tous. Dans le troisième paragraphe un personnage nommé Peccavimus interpelle le narrateur et parle au présent en lui disant d’arrêter de désespérer de la sorte, « qu’elle a choisi de prendre les devants de la mort ». Enfin dans le quatrième paragraphe le narrateur reprend la parole, au futur, en disant qu’il « ne chantera pas le chant mortuaire » mais qu’il « la soutiendra » tout de même. Dans le poème « Annabel Lee », le narrateur fait un récit de souvenirs de sa bien-aimée, il utilise donc le passé pour faire un récit de leur amour partagé depuis si longtemps. La perte de cette femme le rend infiniment triste d’autant plus qu’elle a été causée par « les séraphins », « les anges » qui les « jalousaient ». Le manque de son amour ne lui fait d’autant pas oublié ses souvenirs d’elle qui décrit comme « belle » a maint reprise comme pour appuyer sur le point important a ses yeux. Dans le poème « A Hélène »

1. Similitudes avec les poèmes du parcours.

Dans les trois poèmes, « l’Ange et la Fée » de Bertrand, « Aurelia » de Nerval et « les Bienfaits de la lune » de Baudelaire on pour thèmes le rêve. Il en est ainsi pour les poèmes « un Rêve dans un Rêve », « la Dormeuse », « Terre de songe » et « pour Annie »

1. Expression personnelle.

Le poème que j’ai préféré est le poème « pour Annie » car il parle de la solitude du poème avant de rencontrer la femme mais aussi celle qui ressent après l’avoir perdu. Il montre qu’un simple souvenir de cet être qu’il aime tant le rend plus fort, le fait sortir, l’espace d’un instant, de son mal être. Il montre que l’amour est plus fort que la mort envers et contre tous. Je l’ai préféré aussi parce que c’est celui dont la forme, la structure ma le plus parlé, que j’ai la plus apprécié et aussi comprise. Son vocabulaire, le niveau de langue et la tournure des phrases m’ont semblés assez simples. C’est simplement celui qui autant au premier abord qu’une fois après l’avoir lu m’a le plus inspirée et fait ressentir quelque chose.

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