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DEVOIR 1 FRANCAIS BTS MUC 2eme année

Dissertation : DEVOIR 1 FRANCAIS BTS MUC 2eme année. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  29 Novembre 2017  •  Dissertation  •  2 826 Mots (12 Pages)  •  908 Vues

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 La notion de développement durable est définie par : « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs » cette définition du développement durable est une mesure protectrice de l’environnement contre le danger des exploitations humaine cependant nous n’avons point d’outils protectionniste des dangers de notre environnement naturel contre notre espèces humaine. Notre époque est confrontée aux contradictions des certains scientifiques sur la question de l’environnement et de l’économie. Les dangers des catastrophes naturels qui sont en net augmentation mais qui peuvent être palier par des outils d’anticipation et contrôlé afin d’assurer la sécurité des Hommes. Le corpus qui faits l’objet de notre étude se compose de deux articles de presse, d’un poème et d’une photo. F.Bussy dans « Penser nos catastrophe » parue dans Le portique n22 en 2008 nous interpelle sur le danger de nos activité à tendance influente sur l’augmentation des catastrophe naturelle. R.-E. Dagorn dans « Les catastrophe naturelle n’existe pas » parue en 2014 dans le journal n33 de Les grand dossiers des Sciences humains » il nous explique que les risque de dommage causé par une catastrophe naturel sont nettement plus élever dans les pays en voie de développement car leur infrastructure ne sont pas adapté aux risque bien qu’il soit faible. Voltaire dans l’extrait du Poème sur le désastre de Lisbonne parue en 1756 nous dévoile l’atrocité après une catastrophe naturelle qui a détruit la ville de Lisbonne, Voltaire cherche un coupable à ceux malheur. Le dernier document intitulé Le village de bento-Rodriguès  est une photo prise le 6 novembre 2015 au Brésil parue dans le journal Le Monde la photographie montre les dégâts  après le passage du tsunami dans un village ravager par des déchets minier suite à la chute d’un barrage.

Cette ensemble de point de vue nous amènes à nous demander si les résultats des catastrophe naturelle sont les résultats de notre incapacité à nous préparer au risque connue ou si notre empreinte écologique a une influence sur les catastrophe actuel.

Dans un premier temps nous verrons que l’impact d’une catastrophe naturelle dépend de son degré de préparation a anticipé le danger puis nous verrons que l’homme est susceptible d’être la cause d’une augmentation des catastrophe naturelle.

R-E Dagorn dans son ouvrage « les catastrophe naturelles n’existent pas » l’auteur nous fait comprendre que les catastrophe naturelle sont connue et prévisible et que les dégâts causé par une tempêtes dépende de la préparation d’un Etat à assurer des infrastructures adaptées ainsi les statistiques montre que sur 1 million d’habitant le risque annuel de mortalité est de 92 en Arménie ou 41 en Turkménistan les risque est seulement de 0,6 en Californie bien que celui-ci soit situer sur une faille très active. On comprend donc que le PIB influe sur la sécurité de ces infrastructure à préparer une catastrophe naturelle comme par exemple à Katmandou  un enfant a 400 fois plus de chance de mourir d’un tremblement de terre que au Japon pourtant les risque sont les même. Cependant bien que les risque soit faible dans un pays en voie de développements certaine infrastructure en font de zones  à risque très élever car bien que rarement touché par une catastrophe naturelle lors d’une tempêtes par de force 4 par exemples les dégâts sont nettement considérable, et peuvent changer complétement le paysage urbain comme nous le constatons sur la photo prise en décembre 2015 après le passage d’un tsunami ,  nous apercevons les dégâts commis par la puissance des couler de boue après la rupture d’un barrage ravageant la forêt et le village laissant apparaitre ce qui semble être le reste d’une habitation. Le paysage montrant le village de Bento-Rodriguès pourrai très bien être décris par Voltaire dans son poème lorsqu’ il dit « Accourez contemplez les ces ruines affreuses, Ces débris, ces lambeaux, ces cendres malheureuses »  

Dans le poème de Voltaire nous comprenons la tristesse d’une tel catastrophe mais nous pouvons aussi remarquer  l’incompréhension de l’auteur à trouver un coupable « c’est l’effet des éternelles lois » et la haine de l’auteur à ne pas pouvoir explique pourquoi Lisbonne serai plus justifier qu’une autre ville « Lisbonne est abimée et l’on danse à Paris ». En réalité cette époque n’avais pas le recule que nous avons  aujourd’hui, les catastrophe naturelle était perçus comme une malédiction qui devait punir la région qui était toucher comme nous explique F.Bussy : « A d’autre époque les catastrophe traduisait une colère divine » on retrouve aussi ces lamentation dans le poème de Voltaire : "Direz-vous : C’est les effets des éternelles lois qui d’un Dieu libre et bon nécessitent le choix ». Aujourd’hui grâce à l’étude des scientifique nous comprenons que cette situation aurait pu être évité avec les infrastructures adaptées pour la prise en charge des personnes en danger comme nous explique R.E Dagorn avec la construction d’espace de risque nous pouvons anticipé afin d’assuré la sécurité des personnes en danger « Au Bangladesh, c’est la construction de 16 000 abris anticycloniques permettant de protéger la population.. » en 1756 de t-elle infrastructure n’aurait pas pu être imaginable ainsi la population ne pouvais pas lutter et ils ne pouvais trouver de coupable responsable de leurs malheur . Aujourd’hui avec toute nos connaissance et les outils technologique élaboré pour résister aux puissances naturelles la faute est mise sur l’Etat responsable de la bonne infrastructure environnementale, sinon il est perçus comme un accident comme dirai F.Bussy « toutes catastrophe apparait ainsi comme un accident. Nous connaissons autour de nous que des accidents, c’est-à-dire des évènements qui peuvent être évités ou pourrons l’être à l’avenir, grâce au progrès technique »

Les catastrophe naturelle existe bien, ils sont connues et étudiés afin de les anticipés et de mesurer   leurs danger de manière à nous protéger en conséquence. Les pays en voie de développement seront donc plus toucher par une catastrophe à cause de leurs infrastructures inadaptées.

Le monde moderne dans lequel nous vivons  est préparer aux catastrophes naturelle grâce au progrès technique qui ne cesse d’évoluer nous pouvons lutter contre la puissance de la nature mais parfois nous ne pouvons point faire le poids face à la force de la nature et F.Bussy nous explique : « Tout événement catastrophique et vécu comme une aberration que la technologie devra faire oublier ou rectifier le plus rapidement. » c’est-à-dire que nous sommes tellement habituer à avoir des technologies pour contrer  un danger naturel que lorsque le danger et plus gros et puissant nous somme incapable de nous résinier a croire la nature plus forte que nous et préférons croire a accident. En revanche ce rapport de force n’était pas le même en 1756 ou les hommes de cette époque reconnaissez la supériorité de la nature par rapport à leurs être, les plaintes était adresser au dieu de la nature « Dieu s’est vengé, leurs mort est le prix de leurs crimes ». F.Bussy nous parle aussi de cette époque « la catastrophe traduisait une colère divine » comme si la catastrophe naturelle était vécu comme une puissance imparable, plus loin l’auteur nous dit également « Nous sommes de plus en plus confronté à l’inconnu, non pas fait de la puissance de la nature ou de l’irascibilité divine, mais de la croissance de notre pouvoir. » nous devons bien comprendre quel est l’inconnue ici cité, celui notre envie de contrôle la nature, plus nous essayons de contrôlée les puissances de la nature plus elle nous échappe. Dans l’article « les catastrophe naturelle n’existe pas » au début du texte l’auteur nous explique ceci : « 1850 morts 135 milliards de dollars, c’est un minimum ce qu’a couté le cyclone Katrina. Or, un investissement de 30 milliards de dollars en travaux d’entretien aurait permis d’éviter l’effondrement de la digue à la Nouvelle-Orléans » la citation précédente de F.Bussy est parfaitement bien expliqué avec R.E Dagorn l’auteur prêtent pouvoir assurer la sécurité d’une digue alors que celle-ci a déjà été créer en modifiant la nature. Nous retrouvons les mêmes principes avec la photo du village de Bento-Rodrigues  ou il est écrit en sous-titre « Les autorité locale craignent des suites des gigantesque coulées de boue provoqué par la rupture des deux barrages le 5 novembre » Dans ce cas présent la légitimité d’un barrage peut être remis en cause puisqu’il a détruit tout un village. Dans l’article « il n’y a pas de catastrophe naturelle » l’auteur nous explique « Mais la prolifération des images nous rend myope devant les facteurs déterminants des catastrophe modernes » l’image qui est parue dans le journal le monde n’a pas jugez judicieux de prendre également en photo les barrage qui ont rompu suite au tsunami le journal nous présente le village détruit comme un finalité sans montrer au public les cause qui découle d’une tel destruction et ce sont bien les hommes à vouloir façonner la nature pour se l’approprier qui sont responsable. F.Bussy dit «De plus dans un univers infini il était pensable que nous profitions des ressource inépuisable ce qui ne l’est pas dans un monde fini ou les organisme vivants sont en interaction entre eux avec leurs environnement » nous constatons que notre époque est au courant des dangers qui menace notre le future, des organismes internationales ce retrouve comme à paris pour reformer le système économique afin de se rapprocher d’un développement durable mais malheureusement on faits que reculer comme avec Donald Trump qui convient de se retirer du précédent accord signé 5 ans auparavant afin d’exploité le gaz de schiste. Cette notion est également traduis par F.Bussy qui explique « on se résout bien à imposer quelque taxe par ci par là, mais il convient de produire et de consommer toujours plus » notre époque est déjà trop profondément  touché par tous ces dérèglement que subit la nature et nous payons cette erreur avec des catastrophe naturelles comme nous le rappelle R.E Dagorn « Katrina et Sandy entre autre ont rappelé que la multiplication statistique des ouragans de forte intensité est due à la lente augmentation de a température moyennes des océans depuis un siècles. »  L’auteur nous rappelle aussi que le niveau des océans risque de monté jusqu’à un mètre en attendant la fin de notre siècle. En réalité les scientifique ne savent pas encore à quoi s’attendre tous les éléments de la nature sont relier d’une manière ou d’une autre mais les impacts qui vont réellement découler du déséquilibre environnementale sont bien plus important qu’une augmentation générale des catastrophe naturelle.

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