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Culture générale Bts CI: Ecriture Personnelle

Note de Recherches : Culture générale Bts CI: Ecriture Personnelle. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  15 Janvier 2014  •  1 073 Mots (5 Pages)  •  2 089 Vues

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David Abiker s’est penché sur le sujet des inégalités entre homme et femme et nous propose dans cet article sa vision des choses. Il émet la thèse qu’internet est le lieu de parité des sexes. Il permet en effet la mise au pied d’égalité les hommes et des femmes. Sur le net, nous sommes tous égaux.

Pour se justifier l’auteur n’hésite pas à opposer et comparer la place de la femme dans la réalité réelle, et sur le net, dans la réalité virtuelle. Il nous permet alors la prise de conscience du fossé qui sépare ces deux mondes, réel et numérique. Dans nos sociétés modernes, les rapports entre les hommes et les femmes restent soumis à des rapports d’inégalités. Que ce soit dans le monde du travail, où les femmes restent moins bien payées et plus souvent en temps partiel subi, ou dans le quotidien avec l’exemple de l’inégal partage du travail domestique, ou encore dans la sphère politique où les femmes sont bien moins représentées.

Cependant, les femmes ont pris le pouvoir sur le net, pouvoir qu’elles n’ont nulle part ailleurs dans la société. Internet s’oppose à la réalité, cet espace virtuel réinvente les identités de chacun et permet l’instauration de cette égalité des sexes. La toile n’est pas avare, elle donne la parole à tous. Elle est généreuse.

Il justifie aussi sa thèse par l’ignorance du net. L’ignorance envers les règles de la ségrégation sexiste et de ses quotas implicites. Dans cet espace il n’existe pas un nombre spécifique de personnes autorisés, et l’identité des internautes n’est pas liée à la nature de leur sexe. La parole se prend sans tabous, autant par les hommes que par les femmes, les sujets de conversation sont paritaires.

Le net est une technologie qui réduit la sexuation des relations et qui libère la parole. Les internautes jouent avec leurs identités, en la modifiant ou en l’inventant complètement. Les pseudos en sont un exemple concret, comme le dit l’auteur, ils abolissent les codes sociaux et esthétiques.

Question 2 :

Bien souvent, la toile apparait comme un espace de liberté. Il s’agit d’un lieu où l’on a accès à une multitude d’information, un lieu où l’on peut échanger démocratiquement, et sans intermédiaires comme la presse pour retranscrirais nos propos. Internet met à disposition une importante quantité de données, consultables par tous les internautes ou presque. Les autorités politiques ne sont pas censées pouvoir altérer les données, c’est ici au citoyen de trouver ses propres sources, de les interpréter par lui-même. Internet permettrait au citoyen d’être informé de ses droits et devoirs de citoyen, de l’actualité politique, de ce qui se passe dans le monde... C’est un espace permettant le débat, chacun à la parole et l’identité pouvant être modifié, on ne donne pas la même importance aux propos donnés par les internautes que dans la vie réelle.

La liberté d’expression que nous pensons qu’il nous ait délivré via internet n’est que factice. Elle est le droit, pour toute personne, de penser comme elle le souhaite et de pouvoir exprimer ses opinions par tous les moyens qu’elle juge opportun, dans les domaines de la politique, de la religion, de la philosophie ou encore de la morale. Elle a été considérée comme une liberté fondamentale dans la déclaration universelle des droits de l’homme, qui a déclaré que « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique

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