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Corpus dont le thème est la peine de mort

Commentaire de texte : Corpus dont le thème est la peine de mort. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  21 Avril 2015  •  Commentaire de texte  •  362 Mots (2 Pages)  •  1 539 Vues

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Ce corpus est composé de trois textes qui ont tous pour thème (commun) une réflexion sur la peine de mort.

Le premier texte est un discourt prononcé devant l’Assemblée le 30 Mai 1791 par Maximilien De Robespierre, avocat et homme politique acteur principal de la révolution française ; le second texte est un extrait de la biographie fictive de Victor Hugo Le Dernier Jour d’un Condamné écrit en 1832 et enfin un extrait de l’essai Réflexions Sur La Peine Capitale écrit par Albert Camus en 1957.

Tout d’abord nous étudierons les arguments que Robespierre et Camus opposent aux partisans de la peine de mort puis nous observerons par quels procédés les auteurs rallient leur auditoire a leur cause.

Les arguments qu'opposent Robespierre et Camus sont fort opposés aux partisans de la peine de mort. En effet, Robespierre et Camus veulent "prouver que la peine de mort est essentiellement injuste" mais aussi que non seulement les tueurs sont tués, mais ces tueurs ne sont autres que la justice, alors elle-même criminelle. Il veut prouver que la peine de mort est un acte barbare, que celui qui est au pouvoir est un monstre, que la justice met en scène des actes de mort. Robespierre assure que cette peine ne sert à rien en comparant les autres "pays libres" où les crimes se font plus rares, les idées libres, "où les droits de l'homme sont respectés" à ce quoi il veut que la "peine de mort soit abrogée". Il veut donc nous-mêmes nous rendre coupables puisque nous sommes "les partisans de la peine de mort". Camus dénonce cette pratique inhumaine violant les droits de l'homme. Il décrit la peine de mort comme un assassinat, comme un meurtre odieux. Il veut montrer dans ce texte que cet honnête homme protégé par la loi venu voir faire la justice a seulement vomi montrant ainsi l’atrocité, le bouleversement de la punition ainsi il délibère que cette paix au sein des cités n'ai autre que grâce un châtiment intolérable.

A eux deux, ils expriment une même pensée : dénoncer de manière différente mais pertinente, la peine de mort n'est qu'un meurtre horrible caché "sous les grandes formules dont on la masquait".

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