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Corpus de trois apologues qui abordent le thème de la justice

Commentaire de texte : Corpus de trois apologues qui abordent le thème de la justice. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  28 Novembre 2012  •  Commentaire de texte  •  336 Mots (2 Pages)  •  1 429 Vues

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lCe corpus nous propose trois apologues, écrits à différentes époques. Que se soit « Le Prud’homme qui

sauva son compère » écrit au XIIIème siècle, la fable « L’Huître et les Plaideurs » de Jean de la Fontaine écrit au

XVIIème siècle ou Zadig de Voltaire écrit au XVIIIème, tous ont pour but de faire passer un message tout en

distrayant le lecteur. Pour cela, ils entrent dans l’objet d’étude sur l’argumentation.

Ces trois textes abordent un thème commun : la justice, mais la traitent sous différents aspects. En

effet, le fabliau « Le Prud’homme qui sauva son compère » (texte 1) évoque la mauvaise foi d’un homme qui

veut faire du tort, qui veut « mal et ennui » (texte 1,l.10) à celui qui l’a sauvé de la noyade. La justice est

présentée ici comme n’étant pas capable de donner raison à un innocent et elle s’en remet à l’idée

d’un « bouffon »(l.20). Dans la fable de Jean de la Fontaine (texte 2), une autre image de le justice est donnée :

le juge, ici représenté par « Perrin Dandin » (l.16) se moque des plaignants et il ne donne raison ni à l’un ni à

l’autre en prenant l’objet du dilemme pour lui : « Perrin[…]ouvre l’huître et la gruge »(v.17). Seul le texte

3,extrait de Zadig ,propose une vraie justice qui va dans l’intérêt des plaignants car le juge Zadig essaie d’être

équitable : « son équité »(l.9). Etant tous trois des apologues, ces textes ont plusieurs visées. D’une part,

chacun a pour but de distraire le lecteur. En effet, ces trois textes sont courts pour susciter le plaisir du lecteur.

De plus , ils sont présentés sous la forme d’histoires qui mettent en scènes des personnages simples très peu

définis. Dans le texte 1, les personnages ne sont définis que par leur fonction ou leur caractère : « un

pêcheur »(l.1), « un homme »(l.2), « les juges »(l.24) et « un bouffon » (l.27). Dans le texte 2, c’est également

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