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Corpus : Racine, Marivaux, Musset: comment l’écriture théâtrale de ces trois extraits incarnent-ils l’affrontement?

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Par   •  12 Avril 2014  •  256 Mots (2 Pages)  •  992 Vues

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Ondine est une œuvre théâtrale écrite par Jean Giraudoux en 1939 dans laquelle nous allons étudier les différentes formes de comique présents.

Afin de montrer le personnage désinvolte et abruti qu’est Ondine, l’auteur emploi un comique de caractère en effet, dans la pièce, Ondine n’a aucun gène à parler des autres et ne semble pas savoir qu’elle a pour obligation de respecter ses supérieurs à la cour tels que le roi. Celle-ci ne comprend pas quelle doit cacher les défauts des aristocrates et souhaite faire preuve de franchise.

Le texte présente notamment un comique de geste, lors des explications du chambellan, la chevalière ne semble pas attentive et n’hésite pas à interrompre la discussion pour aller voir le poète, cette attitude semble fâcher l’officier qui finit par hausser le ton l41 « non point ! Jamais ! » chose qui ne la dérange pas puisqu’elle ira tout de même parler au poète.

Ondine ne montre pas seulement sa personnalité à travers un comique de caractère mais aussi un comique de mots en effet, à certains endroits elle coupe la parole pour réfuter le point de vu du chambellan l86/87 « -Quand vous vieillirez on vous dira, grâce à elle, que vous êtes jeune […] » elle répond « je ne vieillirai jamais… » ou encore « au cas où vous auriez une verrue […] » « je n’aurai jamais de verrue. Vous pouvez attendre… ».

Dans ce texte, on discerne donc trois types de comiques :

- le comique de geste

- le comique de caractère

-comique de mots

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