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Corpus De Bac "la nature dans la mort": Comment la description de la nature intervient dans ces trois extraits ?: Zola, Balzac, Camus

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Par   •  26 Mai 2013  •  336 Mots (2 Pages)  •  1 026 Vues

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Question préparation corpus, nature et mortQuestion p145 : Corpus « la nature dans la mort »

Question préparatoire.

Comment la description de la nature intervient dans ces trois extraits ?

Les extraits présents dans ce corpus décrivent des scènes d’assassinats. Ils décrivent un moment important dans l'histoire, puisqu'ils présentent le moment où le « héros » va passer à l'acte après avoir prémédité son assassinat. Dans chacun des extraits intervient une description scrupuleuse de l'environnement du tueur, qui s'avère avoir une grande utilité dans le récit.

Dans Thérèse Raquin, de Zola, Laurent, alors amant de Thérèse, assassine Camille. Le narrateur laisse transparaître un cadre obscur et pour le moins inquiétant. On relève le champ lexical de l'obscurité : « gris », « sombre », « ombre », « vague ». Ainsi que le champ lexical de l'inquiétude : « roide, immobile », « figure convulsionnée », « effrayante ».

Dans La Condition Humaine, Tchen s'apprête à assassiner un homme froidement, pour cause, il réfléchit à son acte, en se disant que l'homme doit mourir au premier coup, pour ne pas risquer qu'il appelle au secours. Ainsi, au travers de cet acte effrayant, le narrateur se doit de rendre le carde oppressant. On relève ainsi : « angoiss », « hébétude », « pâle », « tâche molle », « le temps n'existait plus ».

Enfin, dans l'Etranger de Camus, Meursault se retrouve face à sa prochaine victime, un arabe. Dans cette scène qui devrait paraître inquiétante, où la tension devrait être palpable, Meursault s'attache à des détails. Ainsi au-delà d'une scène de meurtre, on assiste à une scène où la chaleur se fait étouffante pour le tueur. On relève le champs lexical de la chaleur : « vibrante de soleil », « sueur », « voile tiède et épais ». S'y ajoute le champ lexical d'une chaleur insupportable : « brûlure du soleil », « yeux aveuglés », « le front surtout me faisait mal, mes veines battaient ensemble ».

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