Corpus BTS - Culture Générale - Etude de cas
Étude de cas : Corpus BTS - Culture Générale - Etude de cas. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar Joshua Boirat • 2 Décembre 2019 • Étude de cas • 903 Mots (4 Pages) • 2 010 Vues
Seuls avec tous – CORPUS 1
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1er corpus :
De WAAL | ION | DEMELI | CLARIS DE FLORIAN | Idées |
L’esprit de coopération aurait en partie permis de préserver l’espèce humaine | L’individu singulier se construit dans la relation d’échange qu’il établit avec l’autre | A Athènes, un mouvement d’aide alimentaire s’organise et apporte de la nourriture aux plus démunis. | En unissant leurs forces, l’aveugle et l’handicapé parviennent à se déplacer : mutualisation des maux et remède de ces derniers. Les infirmes coopèrent pour compenser leur handicap. | En coopérant, l’homme avance et abat ses murs. |
Les humains en groupe peuvent mener des projets d’ampleur | Grâce à cette initiative, de nombreux restaurateurs rejoignent le mouvement Les grecs se montrent généreux et donne aux plus démunis | Grâce à leur alliance, les deux personnages pevent mener leur propre projet d’ampleur Rien | Plus le groupe est massif, plus le bien peut être bon pour la communauté | |
L’homme est capable d’altruisme parce qu’il se sent moralement responsable | L’égoïsme et les intérêts personnels ne gouvernent pas toujours nos actions. | Portés par la pauvreté manifeste d’une partie de la population, Xénia et son association font preuve d’empathie | « le bien que l’on fait à son frère pour le mal que l’on souffre est un soulagement » : l’homme est bon pour lui-même De plus, ce sont les cris de l’individu immobile qui ont éveillé la morale de l’aveugle Ils souffrent de l’indifférence des habitants | Par l’altruisme, l’homme se dépasse et dépasse l’image qu’il se fait de lui-même où l’individu prime sur la communauté. |
La coopération n’exige pas de lien de parenté. Elle se fonde sur la réciprocité et elle est motivée par l’empathie. | Le don et l’amitié guide l’action humaine | De nombreux bénévoles offrent leur surplus de nourriture | Ici, leur aide mutuelle est empathique et presque de l’ordre de la transaction : un service pour un service. Sans lien de parenté, ils fraternisent et se soutiennent dans leur malheur | L’homme ne se limite pas à ses liens de parenté pour exprimer son altruisme. Son humanité suffit. |
L’humain est le seul primate qui coopère avec des inconnus. | Les donateurs ne se connaissent pas et ne connaissent pas ceux qui reçoivent | L’amitié naît de leurs handicaps et non de leurs points communs/affinités Ils n’ont aucun lien et s’associent malgré tout | L’humanité n’est pas le seul facteur d’altruisme | |
Les groupes humains se basent moins sur la compétition entre groupes différents que sur l’hospitalité et l’alliance. | Dans sa quête d’identité, l’individu reste focalisé sur la « chose publique » (République) et travaille à fonder une conscience politique personnelle. | En donnant, les bénévoles réalisent un acte citoyen | Ils ne créent qu’un individu en s’unissant | En cherchant son individualité, l’homme se regroupe et finit par fonder une conscience de groupe |
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