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Comparaisons Corpus: Emile Zola « Thérèse Raquin », André Malraux « La Condition Humaine », Et Albert Camus « L'Etranger »

Analyse sectorielle : Comparaisons Corpus: Emile Zola « Thérèse Raquin », André Malraux « La Condition Humaine », Et Albert Camus « L'Etranger ». Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  30 Octobre 2014  •  Analyse sectorielle  •  890 Mots (4 Pages)  •  919 Vues

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Comparaisons corpus  Emile Zola, « Thérèse Raquin », André Malraux, « La Condition humaine », et Albert Camus, « L’Etranger ».

1 - Laurent et Thérèse, devenus amants, mettent à exécution le projetde tuer Camille. Ce crime est totalement prémédité, tous les éléments sont réunis pour, et Thérèse « attend ». Elle qui vit dans l’ennui souhaite vivre pleinement son amour avec Laurent, ce qui estimpossible à cause de son mari Camille. Zola peint un tableau réaliste et funeste, il annonce ainsi le drame qui va suivre : « douloureusement calme » « des souffles plaintifs de désespérance », lepaysage « sent la mort » arriver. C’est donc cette atmosphère silencieuse et menaçante, qui les poussera en partie à agir.

2 - Dans La Condition Humaine de André Malraux, Tchen est contraint de tuer unhomme pour des raisons politiques. On retrouve ici encore cette ambiance sinistre, accompagnée d’un climat d’angoisse causée par les doutes du personnage : est-il « découvert » ? L’extérieur estdésigné comme un monde différent, « le monde des hommes », ainsi qu’une menace pour Tchen. Dès le début, la violence règne et prédit ce qui va se passer : « tordre », « combattre », frapper » et « tuer.Cette ambiance oppressante le conduira lui aussi à tuer cet homme.

3 - Quant à Meursault, héros de l’Etranger de Camus, il tirera sur l’Arabe de façon « absurde », ce sont des circonstancesindépendantes de ses volontés qui l’y amènent. C’est un climat apocalyptique que peint Camus : la chaleur, qui est personnifiée par « son grand souffle chaud » a comme un effet néfaste sur Meursault, « l’air estenflammé » montre à quel point le soleil brûle. Ces éléments naturels l’écrasent, il en perd presque le sens de la vue, puisqu’il « devine » plus qu’il ne voit et a donc une mauvaise interprétation del’Arabe et croit que celui-ci le provoque « il avait l’air de rire », du coup il se sent obligé d’avancer et pour lui l’Arabe semble vouloir l’agresser. L’expression « brûlure que je ne pouvais…

Ce corpus est composé de trois extraits: Thérèse Raquin (1867), de Emile Zola, mais aussi de La Condition humaine (1933), de André Malraux et pour finir de L’Etranger (1942), de Albert Camus.

Cestrois extrait parle d’un crime commit

C’est pour cela que la question posée est de montrez en quoi comment la description de la nature intervient dans les trois extrait.

Donc nous aborderons lespensés des personnage et les ressentis des personnage puis de la description de la scène.

Nous pouvons constater que dans ces trois extraits, il se passe un meurtre. Dans Thérèse Raquin, Thérèse etLaurent veulent tué Camille afin qu’ils soient tout deux réunis, dans La Condition humaine un jeune engagé dans l’action terroriste assassine un trafiquant et dans l’Etranger Meursault tue un homme quisuit son ami pour une vengeance.

Dans ces trois extrait, nous remarquons que les narrateur laissent apparaître les ressentis des personnages: dans Thérèse Raquin nous apercevons ses sentiment« Thérèse, roide, immobile, la tête un peu renversée, attendait. », « elle était rigide, muette »,

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