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Commentaire sur un extrait de De Architectura, Vitruve

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Par   •  22 Octobre 2015  •  Commentaire de texte  •  1 052 Mots (5 Pages)  •  933 Vues

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Vitruve, De Architectura, II, 6, 1

Intro

  1. Apparente simplicité → construite de manière hyper logique

  1. Un texte à l'apparence simple

→ vocabulaire facile pour qu'une personne ordinaire puisse comprendre : « pulveris » « res » « maximos ignes » « vapor » « fluctus »

→ très peu d’effets de style propre aux textes de Lucrèce ou Virgile, écriture simple et claire

→ reprises de termes  « ardens » / « res » / « liquore / « ratione » → ramène l'attention du lecteur sur l'explication, donne cohérence au texte en rappelant le sujet = crée le fil conducteur

  1.  Structure du texte

→ champs lexicaux pour aider à a démonstration : champ lexical du feu qui n'apparaît qu'à la deuxième partie et explique le phénomène pour être revu dans la conclusion comme cause primaire / champ lexical de la terre présent tout au long de l'extrait + champs lexical de l'eau → opposition des éléments

→ connecteurs logiques = déroulement de sa pensée : « « etiam » ; « autem » ; « aut » ; « igitur » ; « ergo » ; « neque »

  1. Un plan rigoureux et une démonstration construite et rationnelle

→ texte séparé en trois temps :

- Ligne 1 à 4 = exposition du phénomène → introduction « Est » en début de phrase / « sed » puis problématique : « sub aqua soidescunt »

- Ligne 5 à 10 = Pose de l'hypothèse et explication : « hac ratione » ; « videtur » = pas sûr / « quod » engendre la démonstration, qu'il commence avec l'énonciation d'une vérité avec le verbe « sunt » → il y a de grand feux sous la terre qui créent des nappes souterraines / « igitur » engendre sa déduction d'un phénomène naturel → vapeur qui sort de la terre / « et » coordonne et présente la suite comme étant le corollaire de sa première  déduction/observation → la naissance de la pierre-ponce s'explique par le fait qu'ele soit gonflée par la vapeur qui la rend légère sans laisser d'eau dans ses pores

- Lignes 10 à 13 = conclusion et déduction d'une théorie universelle (présent de vérité générale) ? → trois éléments ayant étés crées par la force du feu peuvent lors surmonter la force de l'eau, trois = chiffre de la certitude

  1. Un mélange de théorie et de pratique (principe I, 1)
  1. Qu'est ce qui fonde son hypothèse ?

→ les quatre composant primordiaux de l'univers eau « liquore » ; « fluctus » ; « aqua » / terre « terram » « pulveris » tofus » / feu « ardentes » « ignis » « flammae » / « air », la base de toute création, s'unissent à différents niveaux et produisent les composants de tout l'univers, ces atomes comme les appelle Démocrite et Epicure sont indivisibles « solidantur »

→ Il appuie son hypothèse sur des connaissances perçus comme les études scientifiques de nos jours : fiables, surs et vrais. Il part de la base de toutes choses existantes (théorie) aux utilisations que les architectes qui lisent son traité peuvent en faire et donne même des indication de fabrication « commixtum cum calce et caemento » et d'utilisation « non modo ceteris aedificiis prastat firmitatem, sed etiam cum struuntur moles in mari, su aqua solidescunt » (pratique)  

  1. En quoi cette hypothèse est séduisante ? → à compléter par des citations

→ Elle reprend et synthétise les connaissances des plus grands penseurs antiques en démontrant que leurs thèses sont bonnes : l'univers serait composé d'atomes de feu d'air d'eau et de terre qui en se mélangeant peuvent présenter des avantages si on sait comment les utiliser, par exemple, dans ce cas le feu résiste à l'eau où a terre par extension les constructions à base de terre auraient sombré

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