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Commentaire sur l'acte I Scène 3 de la pièce de théâtre Phèdre de Jean Racine

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Par   •  4 Mai 2013  •  1 176 Mots (5 Pages)  •  1 409 Vues

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Introduction

Le passage soumis a étude est un extrait de l’Acte 1, scène 3 de l’œuvre "Phèdre" de Racine. "Phèdre" est une remarquable œuvre théâtrale écrite en 1677; C’est l’histoire d’une femme déconcerté car elle aime son beau fils et son mari est mort. Jean Racine est un dramaturge et poète français né le 22 décembre 1639 à Le Ferté-Milon et mort a et mort à Paris 21 le 21 avril 1699. Il est un des plus grands écrivant des tragédies et "Phèdre" est son l’ouvre avec plus de succès. Dans cet extrait, Phèdre avoue ‘à sa nourrice Œone, la passion qui sent pour Hippolyte, le fils de son époux; un amour coupable et fatal. On étudierons ce passage pour répondre cette problématique : comment Racine explique la passion et le trouble sentimental? Pour répondre à la problématique posée, dans un premier temps on étudiera Phèdre, un personnage complexe puis la raison face à la passion.

I. Phèdre, un personnage complexe

a. Le trouble de Phèdre

Phèdre est troublé car la passion quel ne peut pas controlé est une partie du destin mais elle sait que c’est mal, alors, elle sent du froid et de la chaleur par l’amour pour Hippolyte. Phèdre aime passionnellement son beau fils on peut le voir grâce a la gradation du vers 273 : " Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ". Elle est follement amoureuse « vers 286» : " J’adorais Hippolyte, et le voyant sans cesse", elle le comparait avec un dieu « vers 288 » "J’offrais tout à ce dieu". Mais cette passion été immoral et erroné ce qui produisait le trouble de Phèdre « vers 274» "Un trouble s’éleva dans mon âme éperdue" un trouble qui bloquait ces sens, on relève un champ lexical des sens : vers 275 " Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ", vers 276 "Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ", le trouble etait si fort qu’elle resenti des sensations très opposé marqués par une antithèse : vers 277 " Je sentis tout mon corps, et transir et brûler ". Phèdre passe d’idolâtrait Hippolyte a le considérait comme son ennemi exemple : vers 294 " Pour bannir l’ennemi dont j’étais idolâtre"

b. Un amour inévitable

Racine a utilisé une analepse pour expliquer que l’histoire de cette amour venait de plus loin vers 269 : " Mon mal vient de plus loin ". Utilisation de vocabulaire de la fatalité : vers 277 : " Je reconnus Vénus et ses feux redoutables ", vers 278 : " tourments inévitables", " D’un incurable amour remèdes impuissants ". C’est le destin qui poursuit cet amour vers 301 : " Cruelle destinée ". Phèdre a voulut lutté contre cette folle passion vers 279 : " Par des vœux assidus je crus les détourner " en demandons aux Dieux pour qu’ils arrêtent cela vers 280 " Je lui bâtis un temple, et pris soin de l’orner ", en cherchant a la raison vers 282 : " Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée ". Ces tentatives pour arreter son amour n’ont pas fonctionné vers 284 : "En vain".

c. Une victime du destin

Phèdre est une victime du destin, du chemin. Œone parle du destin, du chemin inévitable au vers 267 : " Voyage infortuné ! Rivage malheureux ". Le destin est présent a tout moment vers 270" Sous les lois de l’hymen2 je m’étais engagée ", vers 273 : " Je reconnus

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