Commentaire du roman La bête humaine d'Emile Zola

Introduction :

Émile Zola est un romancier naturaliste du 19ème siècle, né le 2 Avril 1840 et mort le 29 septembre 1902, dans sa ville à Paris. Il est l'auteur de nombreuse œuvres dont « la bête humaine » un roman policier publié en 1890, il s’agit du dix-septième volume de la série Les Rougons Mac quart. Une histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire. Dans ce commentaire nous allons étudier un extrait de son incipit. Sa fonction est d’informer et d’intéresser le lecteur ( « En entrant dans la chambre » jusqu'à la ligne 68, « l'autre descendant, qui se croisaient. »)

Problématique : Nous allons démontrer quelle nouvelle réalité le romancier naturalisme fait-il entrer en littérature.

Tout d'abord pour démontrer cela nous allons argumenter et montrer quelles sont les informations données sur le cadre , l'histoire et les personnages. Et prouver que ce texte est réaliste

Et puis nous allons déduire en quoi ce texte est-il ancrai dans la réalité sociale et le milieu des chemins de fer.

Développement :

AXE 1 Que nous allons développer : « quelle sont les informations données sur le cadre, l'histoire et les personnages »

AXE 1 Que nous allons développer : « en quoi ce texte est-il réaliste »

Dans cet extrait, Zola ne présente pas Roubaud, il est nommé sans bcp d'informations (aucune description physique). En revanche, l'auteur emploie son nom comme un personnages familier, il n'écrit pas « Mr Roubaud » mais directement « Roubaud ». Le milieu est populaire, nourriture simple, « le pain d'une livre, le pâté et la bouteille de vin blanc ». On y découvre un autre personnage la mère Victoire, dans cet extrait seuls ces deux personnages, la mère Victoire et Roubaud, sont cités. On apprend que Roubaud est sous chef de gare habitant « impasse d'Amsterdam » dans une chambre prêtée par la mère Victoire. Zola décrit les lieux dans un mouvement qui va de l’intérieur, la chambre, vers l’extérieur, le quartier de l’Europe puis la gare. Il les décrit avec beaucoup de détaille « la gare, cette tranchée large trouant le quartier de l'Europe » . Dans cet extrait, les machines (trains) occupent une grande place, le romancier détaille les machines comme des êtres humains, il utilise des personnifications « deux grandes roues dévorantes » pour démontrer que ses machines occupent une place très importantes dans cet extrait et dans le livre, ils occupent une place humaines.

Dans cet extrait, Zola montre la réalité de ce livre, le pain, le pâté et le vin blanc sont les nourritures utilisé de ce milieu populaire.

AXE 3 Que nous allons développer : «  ancrage dans la réalité sociale et le milieu des chemins de fer 

L'extrait ce l'incipit possède bien un ancrage réaliste. Le narrateur donne l'illusion du vrai en donnant beaucoup d'importance à la précision des lieux et du milieu, «  les maisons de

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