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Commentaire Du roman Cycle des Rougon-Macquart D'Emile Zola

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Par   •  6 Mai 2013  •  888 Mots (4 Pages)  •  1 654 Vues

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« Qui blâme la peinture blâme la nature»

Ce texte est un extrait du roman naturaliste du cycle des Rougon-Macquart, L'oeuvre, ecrit par Emile Zola en 1886. Il evoque l'histoire d'un peintre, nomme Claude, qui part au Salon des Refuses, ou il a expose son nouveau tableau: Plein Air. Le public bourgeois se moque alors et le juge ridicule.

En quoi

Dans un premier temps, on va etudier le regard du peintre Claude sur son oeuvre, et dans un deuxieme temps son regard sur le public, qui obsevre son tableau.

Tout d'abord, le peintre est choque et etonne en regardant sa peinture dans la salle. Pour cela, l'auteur evoque le champ lexical de l'etonnement "yeux elargis, attires et fixes par une force invincible, il s'etonnait...". De plus, a force de la regarder, elle commencait a lui paraitre etrangere: il ne la reconnait plus ("la reconnaissant a peine dans cette salle", "ce n'etait pas la meme oeuvre que dans son atelier"), et il insiste sur cela en utilisant l'adverbe "certainement". On remarque aussi cela dans la gradation des verbes d'actions « il regardait son tableau, s’étonnait, le reconnaissait à peine ». Et enfin, on sent que le peintre commence a ne plus apprecier son chef d'oeuvre: il commence a aussi dire qu'elle est moche et meme incomplete: cela montre donc l'evolution de l'avis du peintre au long du texte ("ils ont raison c'est incomplet").

En outre, en observant sa peinture, le peintre y trouve des defauts mais aussi des qualites. En premier, il nous la decrit d'une maniere pejoratif, en utilisant aussi le superlatif "elle avait jauni, plus brutale, plus laborieuse", mais aussi il utilise le mot defaut dans sa description "il en voyait du premier regard tous les defauts". Il la trouve moche a un point qu'il ne veut plus la regarder, et il refuse meme ("il la reusait, il reculait"). Apres la description pejoratif, l'auteur utilise la conjonction de coordination "mais" afin de montrer que Claude est d'un autre cote fiere de son tableau. Il emploie alors le champ lexical de la singualrite("uniquement, seule"..) et il trouve la nature et la femme dessines tellement bien qu'il commence a dire que c'est un autre fameux peintre qui l'a peinte ("lui apparaissait superieure a son talent meme, comme si un autre l'avait peinte e qu'il ne l'eut...de vie"). Finalement, comme Claude a evoque l'histoire de la femme plusieurs fois, et comme il nous precise qu'elle est paraitement peinte, on peut penser qu'il est obsede.

Ensuite, avant d'entrer dans la salle, le peintre Claude entend des bruits: ce sont des personnes qui etaient entrain de rire et de crier ("toujours monter les rires, une calmeur grandissante, qu'on rait..". De plus, en entrant dans la salle, il voit une masse devant lui. Les adjectifs qui decrient la foule sont enumeres, cela montre donc bien qu'ils etaient nombreux :"masse enorme, grouillant, comfuse, en tas". Le peintre s'approcha alors, et vu la cause des rires et des cris: son tableau. Enfin, apres avoir compris que c'etait de son tableau qu'on

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