Combien de lecteurs s'intéressent aux héros heureux

Introduction

D’après un écrivain, « les gens ne s’intéressent pas aux héros heureux il leur faut du tragique du monstrueux du terrifiant ».

Cet écrivain affirme que les gens heureux n’intéressent pas les lecteurs.

Il faudrait alors aux héros la malédiction du malheur, de la malchance, et des situations infernale pour intéresser les lecteurs ?

Dans la société actuelle, on ne présente plus que des évènements tragique tels que des meurtres ou des attentats, et les gens s’intéressent beaucoup à ce genre de fait, mais l’écrivain surenchéri en affirmant que les lecteurs ne s’intéressent absolument pas aux personnages heureux.

Ne soyons pas absolu sur cette idée.

Nous allons ainsi nous demander dans quelle mesure les lecteurs s’intéressent-ils aux héros heureux ?

Pour répondre à cette problématique nous allons dans un premier temps nous intéresser aux histoires tragique, monstrueuse et terrifiante puis dans un deuxième temps aux histoires heureuses.

I Malheur

Une histoire tragique est composée d’un héros malheureux. Celui-ci connaît beaucoup de drames, et de catastrophe ce qui créer chez nous une crainte pour lui.

Quant au monstrueux, c’est une apparence qui créer chez nous de la compassion. Il est à la fois horrifiant mais aussi surprenant par son personnage hors du commun, comme l’illustre le personnage de Quasimodo dans le roman de Victor Hugo, Les misérables. Par son physique particulièrement laid, les personnes ne remarquent pas ses qualités morales telles que le courage. Il fait alors coexister deux aspects étonnant.

L'homme a toujours eu une préférence pour les héros qui sortent de l'ordinaire en particulier lorsqu'ils enclenchent chez le lecteur terreur et pitié qui suscite chez eux un enthousiasme pour l’histoire.

Ces types d’histoire passionne les lecteurs d’autant plus si il y a du suspens. Un exemple clair, celui du livre d’Agatha Christie, Les dix petits nègres. Un livre truffé d’histoire terrifiante et horrible, qui nous laisse un suspe

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ns terrible dès les premières péripéties.

A travers la vie des personnages nous pouvons ressentir un sentiment de peur d’un futur semblable, d’un déjà vécu ou alors un effet de supériorité face à la situation du personnage. Dans tous les cas le lecteur est intéressé et il est poussé à terminer l’histoire.

Le bonheur serait alors excessivement banal…

II Bonheur

Le bonheur est très difficile à définir, en général ce serait un héros satisfait de sa situation, de sa vie.

En réalité le bonheur est subjectif. Nous pouvons citer par exemple le cas de Félicité, dans Un cœur simple de Flaubert, elle ne se plaint aucunement de son sort mais le lecteur estime

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