Boule de suif, Emile Zola

Boule de Suif au cœur de la conversation :

Les attitudes de ces femmes sont très déplacés et moqueuses. Elles utilisent un langages très soutenues pour dires les choses les plus scabreuses «  Ces dames surtout trouvaient des délicatesses de tournures, subtilités d’expression charmantes, pour dire les choses les plus scabreuses » ( l. 1157 à 1159). Le comte était plutôt dans les plaisanteries tout en ce moquant pour les faire rires «  Le comte trouva des plaisanteries  un peu risquées, mais si bien dites qu’elles faisaient  sourire » (l. 1167 à 1168). Loiseau, lâcha des propos osés en étant plus direct, « A son tour Loiseay lâcha quelques grivoiseries » (l.1168 à 1169).

Ces dames s’attaquent directement à Boule de Suif au niveau de sa profession « Puisque c’est son métier à cette fille, pourquoi refuserait-elle celui-là plus qu’un autre ? » (l. 1171 à 1172).

En revanche, Cornudet lui restait plus à l’écart comme un étranger a cette affaire.

Champ lexical de militaire : « Plan des attaques », « les russes à l’employer », « l’assaut » et « l’ennemie dans la place ». (l. 1177 à 1179).

Ce champ lexical veux faire comprendre que l’ennemie est Boule de suif .

Les exemples proposés part les 9 « Bloqués » sont Judith, Holopherne, Lucrèce avec Sextus et Cléopâtre.

Tous ces exemples cités part les neuf bloqués ont un point commun car chacun d’entre eux se sont sacrifier pour quelque chose ou quelqu’un.

Tout d’abord plusieurs arguments on été cité par les Bonnes sœurs, en premier « Or beaucoup avaient commis des actes qui seraient des crimes a nos yeux ; mais l’église absout sans peine ces forfaits [...] » (l.1135 à 1139). La comtesse en profita pour cité l’argument d’Abraham, un sacrifice pour obéir a Dieu.

Mais aussi, la femme au chapelet ajouta la Sœur-Nicéphore était souvent demandée dans les hôpitaux pour soigné c’était sa spécialité de soigné les militaires. « C’était sa spécialité, à elle, de soigner les militaires ; elle avait été Crimée, en Italie et en Autriche » (l. 1172 à 1174).

Parmi, tous ces arguments cités sont que chaque « crime » soit oublié, soigner ou pardonné. Cela

insite le sacrifice à Boule de Suif.

La stratégie du Comte étant pendant la promenade tenté une discussion avec Boule de suif. Il commença d’abord part la prendre par le bras et de lui parlé de façon hautaine et supérieur «  Il lui parla de ce ton familier, paternel, un peu dédaigneux, que les hommes posés emploient avec les filles , l’appelant « ma chère enfant » » (l.1190 à1192 ).

Ensuite il essaya de la manipuler pour par la suite la pousser à coucher avec le prussien «  Donc vous préférez nous laisser ici, exposés comme vous même à toutes les violences [...] » (l.1194 à1197).

Pour finir, il prit par les sentiments, la douceur, être complimenteur et aimable, puis commença la tutoyé «  Et tu sais ma chère, il pourrait se vanter d’avoir goutté d’une jolie fille comme il n’en trouvera pas beaucoup dans son pays. » (l.1203 à 1205)

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