Analyse du roman Au Bonheur Des Dames d'Emile Zola

« Bonheur des Dames », le nom du grand magasin dans le roman de Zola, comme son nom l’indique, est le paradis des dames. Il est né des femmes, existe pour les femmes et développe par les femmes. Dans le roman, quand le personnage principal, Octave Mouret essaie de convaincre le baron Hartmann de ses affaires, il conclut, « (Le grand magasin) bouleversait le marché, transformait Paris, car était faite de la chair et du sang de la femme » (127, Zola). Il révèle le fondement de la culture de consommation moderne - des femmes. Leur « attentions galantes » et désires fiévreux deviennent toutes les achats, qui soutiennent la croissance du marché et motivent la concurrence entre les différents vendeurs, y compris les grands magasins qui triomphent et les petits commerces qui échouent finalement (300, Zola). Toutefois, dans le même temps, les grands magasins également changent leur vie: ils offrent non seulement les achats abordables, mais aussi transforment leur mode de vie.Le grand magasin change de classes différentes d’aspects diverses. D'un côté, our les femmes ouvrières, il leur offre les possibilités de poursuivre carrières et le soutien financier, ainsi transforme leurs points de vue de leur identification dans la société.

Tout d’abord, dans le roman, le grand magasin fournit un large nombre d'emplois pour les dames ouvrières. Il y a beaucoup de femmes qui travaillent au Bonheur des Dames. Les comptoirs de confections et lingeries sont composés de vendeuses. Denise, Pauline, Clara,

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