Analyse du poème Remords Posthume de Charles Baudelaire

Baudelaire – Remords posthume

Forme

Sonnet, 2 quatrains, 2 tercet

Alexandrins

2 rimes embrassées, 2 rimes suivies, 1 rime plate

Diérèse : pluvieux (4)

Fond

Emploi du futur : temps qui passe = mort

Adverbe de temps « Lorsque », « Quand »

« tu dormiras » (1) : euphémisme pour dire tu mourras

« Belle ténébreuse » : Jeanne Duval, métisse (et mauvaise)

Périphrase du tombeau (2) pour donner une importance

Pléonasme « fosse creuse » (4) : très profond

Champ lexical de la profondeur (« fond d'un », « caveau », « fausse »).

Eléments du corps (poitrine, flancs, cœur, pied) : décomposition du corps

Indépendants les uns les autres, les éléments ont des sentiments humains

Personnification du tombeau (9,10) : compréhensif, en harmonie avec le poète

« rêve infini », « grande nuit » : référence à la mort

La femme paraît vivante au cours du poème jusqu’au dernier vers.

Tiret pour détacher du reste du texte

Jugement de la femme : condamnée à mort

Le ver fait référence aux « vers », il veut que la femme culpabilise en voyant ce poème

Conclusion

Baudelaire n'as pas peur de la mort, il en a fait son ami.

Poème dédié (vengeance) à Jeanne Duval, maîtresse de Baudelaire.

Morale : mort, on n’a plus de regret

Voc

Alcôve : renfoncement aménagé dans un mur

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