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Analyse de Français 2nde : Le Parti Pris Des Choses de Francis Ponge: Par quels procédés l’auteur donne-t-il de l’importance à la pluie ?

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Par   •  9 Mai 2013  •  702 Mots (3 Pages)  •  10 155 Vues

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Par quels procédés l’auteur donne-t-il de l’importance à la pluie ?

I) L’observation d’un phénomène scientifique

A) Une explication scientifique du phénomène

-vocabulaire

-démarche scientifique : comparaison pluie horloge + déduction de lois générales de physiques

B) Une perception minutieuse de l’apparence de la pluie

Utilisation de vocabulaire pour décrire l’apparence que prend la pluie quand elle tombe. L2 voir la métaphore qui fait de la pluie un fin rideau.

Utilisation de 3 comparaisons successives de la taille des gouttes de pluie. Ces comparants ont une dimension de plus en plus grosses.

Elles donnent l’impression d’assister à l’intensification de la pluie.

Vocabulaire qui permet de décrire les formes quasi imperceptible que prend l’eau qui ruissèle. « imperceptible ondulations » (l13 et 14) .

« Grossièrement tressée » : métaphore : idée de forme.

Il utilise des synonymes du termes de pluie tout au long du texte pour montrer l’eau changée de formes au fur et à mesure qu’elle tombe: « gouttes », « précipitation », « nappe », « courant », « ruisseau », « filet ».

C) Une description du mouvement de la pluie

Ce poème utilise le champ lexical du mouvement et des verbes de mouvement pour traduire la chute de la pluie et les courants : « tomber », « descendre », « choir », « se brise », « rejaillit », « court », « ruisselle », « coule » .

Il utilise une personnification à la ligne 9 en faisant de la pluie un être humain qui court, ça traduit la rapidité avec laquelle coule l’eau.

Il y a beaucoup d’indicateurs de lieu : « ici », « a peu de distance », « au centre »… qui permettent au lecteur de suivre les déplacement de la pluie d’un lieu à une autre et donc voir son mouvement

II) La contemplation d’un spectacle

A) Un véritable concert

Utilisation d’un vocabulaire qui traduit des sons : onomatopée glou-glou

Minuscules coups de gong : euphémisme

Utilisation d’un parallélisme de construction l20 qui sert à montrer que chaque formes de gouttes de pluie produit un son particulier propre à sa forme.

Non sans délicatesse : litote qui traduit l’admiration du poète pour le concert auquel il assiste.

L24 à 26: allitérations en [l], [g], [q], [s] et assonances en [o] qui miment le bruit de la pluie quand elle tombe.

B) Une expérience fascinante

Le poète associe à la pluie des images enfantines, incongrues :

« berlingots » qui désignent une sucrerie

« une fraction de

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