LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Analyse de Français 1ère S : La Pluie de Francis Ponge

Recherche de Documents : Analyse de Français 1ère S : La Pluie de Francis Ponge. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  1 Juillet 2013  •  454 Mots (2 Pages)  •  7 662 Vues

Page 1 sur 2

Introduction :

poème en prose → proème

1er poème du recueil

cherche à redéfinir les choses ( Le parti pris des choses = on part des choses )

Développement :

I / Approche scientifique

a. Une explication scientifique du phénomène

vocabulaire « imperceptible ondulations » (l13 et 14)

démarche scientifique : comparaison pluie horloge + déduction de lois générales de physiques

b. L'apparence de la pluie

Vocabulaire qui permet de décrire les formes quasi imperceptible que prend l’eau qui ruissèle. « imperceptible ondulations » (l13 et 14)

Il utilise des synonymes du termes de pluie tout au long du texte pour montrer l’eau changée de formes au fur et à mesure qu’elle tombe: « gouttes », « précipitation », « nappe », « courant », « ruisseau », « filet »

c. Le mouvement de la pluie

Il y a beaucoup d’indicateurs de lieu : « ici », « a peu de distance », « au centre »… qui permettent au lecteur de suivre les déplacement de la pluie d’un lieu à une autre et donc voir son mouvement

Ce poème utilise le champ lexical du mouvement et des verbes de mouvement pour traduire la chute de la pluie et les courants : « tomber », « descendre », « choir », « se brise », « rejaillit », « court », « ruisselle », « coule » 

Il utilise une personnification à la ligne 9 en faisant de la pluie un être humain qui court, ça traduit la rapidité avec laquelle coule l’eau

II / La contemplation d'un spectacle

a. Un véritable concert

Minuscules coups de gong : euphémisme

Utilisation d’un parallélisme de construction l20 qui sert à montrer que chaque formes de gouttes de pluie produit un son particulier propre à sa forme

L24 à 26: allitérations en [l], [g], [q], [s] et assonances en [o] qui miment le bruit de la pluie quand elle tombe effet d' harmonie imitative

b. Expérience fascinante

Admiration

SORCELLERIE E de Baudelaire

Le poète associe à la pluie des images enfantines, incongrues : « berlingots » qui désignent une sucrerie « une fraction de météore pur » permet de traduire l’admiration de l’auteur pour la pluie qui tombe 

Métaphore « en aiguillettes brillantes » pour faire de la pluie des cordons qui se terminent par des embouts métalliques scintillants

Répulsion

la notion de fatalité, puisqu'il faut attendre que le ressort se détende, pour que « toute la machinerie s'arrête » et qu'au XX e s la tragédie est comparé à une machine infernal

comparaison : « un mécanisme » à « ressort » « compliqué

...

Télécharger au format  txt (3.1 Kb)   pdf (56.9 Kb)   docx (9.3 Kb)  
Voir 1 page de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com