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Abécédaire sur le livre Le Secret de Philippe Grimbert

Cours : Abécédaire sur le livre Le Secret de Philippe Grimbert. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  26 Décembre 2020  •  Cours  •  1 415 Mots (6 Pages)  •  7 968 Vues

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Abécédaire sur le livre Le Secret de Philippe Grimbert

A comme Auschwitz : C’est un camp de concentration de juifs. Ce camp est important  car c’est là que Hannah et Simon sont morts : « Hannah et Simon, après avoir transité par le camp de Pithivers, avaient été expédiés en Pologne, direction Auschwitz. Ils y avaient été gazés le lendemain de leur arrivée. » (p.167).

B comme Bourg-l’Abbé : C’est une rue de Paris où se trouvent le magasin, l’habitation des Grimbert et le cabinet de Louise. La moitié de l’histoire se passe dans cette rue : « Louise disait connaître mes parents depuis leurs installation rue Bourg-L’abbé. » (p. 31).

C comme café: C’est là que Simon et Hannah sont arrêtés et emmenés par la Gestapo, ce moment est très important car Simon et Hannah décèderont le lendemain : « Hannah et Simon quittent le café encadrés par trois hommes » (p. 131).

D comme déportation : Ce livre rend hommage à tous les enfants juifs morts en déportation : « ayant lu dans la presse que les Klasferld envisageaient de publier un ouvrage consacré aux enfants de France morts en déportation. » (p. 185).

E comme Echo : C’est le nom du chien de la famille Grimbert. Mais un jour il meurt écrasé par une voiture, c’est le seul malheur que Maxime n’ait pas surmonté : « Mon père avait surmonté la disparition de son fils et de sa femme, la mort de son chien le faisait s’effondrer. » ( p. 170).

F comme frère : Philippe s’en est inventé un pour surmonter ses difficultés et il découvre qu’il en avait un, comme il l’avait imaginé. Je pense que le mot frère est important car c’est le moteur principal de l’histoire : «  Fils unique, j’ai longtemps eu un frère. » ( p. 11) « ce grand frère fantôme avait donc existé » (p. 76).

G comme Grimbert : C’est le nom de famille modifié de Maxime,Hannah, Simon puis Tania et Philippe. Il remplage le nom juif Grinberg qui entraînera la mort de Simon et Hannah quand celle-ci montre ses vrais papiers aux Allemands : « Maxime provoquera de nouvelles tensions en faisant modifier l’orthographe de notre nom. Grinberg sera lavé de ce «n» et de de «g», ces deux lettres sont devenues porteuses de mort. » (p. 154).

H comme Hannah : C’est l’ancienne épouse de Maxime, la mère de Simon et la belle sœur de Tania. Sa mort (ou plutôt son suicide car elle a donné ses vrais papiers aux Allemands) a permis à Tania et à Maxime de pouvoir enfin s’aimer réellement. « Maxime et Hannah sont mari et femme depuis quelques mois. De temps à autre Maxime pense à Tania » (p. 93).

I comme Indre : C’est dans l’Indre, en zone libre, plus précisément dans la commune de Saint-Gaultier que Maxime, Georges, Esther, Hannah, Simon et Louise veulent se réfugier pour échappés à la Gestapo. Mais Simon et Hannah n’y arriveront jamais, arrêtes par la Gestapo, c’est dans l’Indre que Maxime et Tania ont appris à se connaître et s’aimer : « Elle lui proposera une autre solution : un de ses cousine travaille à la mairie de Saint-Gaultier, une petite commune de l’Indre, elle la joindra pour organiser avec elle leur accueil » (p. 109).

J comme juif : C’est la religion de Maxime et tous ses proches. Suite à des remarques antisémites de ses camarades, Philippe se bagarre et Louise se décide à lui révéler  le secret des ses parents : « Ach ! Chien de juifs ! » (p. 69)

K comme Klasfeld : Klasfeld est un homme qui veut rendre hommage à enfants de France morts en déportation : « ayant lu dans la presse que les ouvrage consacré aux enfants de France morts en déportation. » (p. 185).

L comme Louise : C’est une infirmière de 60 ans qui travail en face de la boutique des parents de Philippe, elle est très proches de Maxime, Tania et toutes leurs familles. Elle s’occupe de Philippe et lui révèle le secret de famille qu’elle avait juré de ne pas révéler 15 ans plus tôt : « Louise faisait partie de notre famille, je l’avais toujours connue...Une fois par semaine elle m’injectait des vitamines » (p. 28)

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