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Linguistique - Le Francais Parlé

Mémoire : Linguistique - Le Francais Parlé. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  5 Janvier 2012  •  5 847 Mots (24 Pages)  •  1 559 Vues

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Titre: "Signe et signature dans Signéponge"

Table de matières

1. Introduction

2. Le « signe » et la « signature »

3. Deconstruire Ponge

4. Synopsis de Signéponge

a) Premiere partie

b) Deuxieme partie

c) L' « Apres Coup »

5. Conclusion

6. Bibliographie

1. Introduction

Le travail traite le livre Signéponge de Jacques Derrida, dans lequel il développe un discours avec le lecteur en faisant référence à plusieurs concepts importants prises de textes des œuvres les plus remarquables de Francis Ponge parmi lesquels « Le Parti Pris de Choses », « La fabrique du pré », « Pour un Malherbe », « Proêmes », « La rage de l'expression ». Derrida se concentre surtout sur le problème du « signe » et « chose ». Il faut d'abord remarquer que pour Francis Ponge « La poésie est une création continue d'une sorte de indignation colère, de sauvagerie »1 et qui s'explique « J’écris souvent contre les fautes que l’infidélité des paroles, ou le manque de possession présente de toutes mes raisons à l'esprit m'a fait dans la conversation commettre. »2 Sur ce point la il faut faire quelques remarques plus explicites concernant la poétique de Francis Ponge.

Son point de départ son les choses et les choses les plus banales que Ponge le transforme, le personnalise, en jouant avec la langue français. Il montre la différence entre chose et mot à l'aide de sa fantaisie et création linguistique. Elle est nécessaire et évidente en chaque de ses poèmes qui traite d'une manière inédite les choses le plus communs dans la vie et qui nous entourent comme « Le cageot », « Le mimosa », « Escargots », « L’huître », « L'orange ».

Des ses poèmes en prose le lecteur comprend que le langage est le moyen d'exprimer graphiquement et de représenter mentalement les choses de manière différente, diverse et infinie. Cette infinité est possible car il considère le langage comme jamais limité ou fixe, au contraire il représente la forme d'exprimer les choses chaque fois autrement, indéfinies, imprécises et indéterminés donc « diverses et relatives ».3 Pour Francis Ponge les mots font le moyen de retrouver chaque fois un autre sens dans les objets. Il évite le rapport référentiel entre mot et chose réglé par des normes linguistiques. L'indépendance référentielle entre mots et choses laisse de l'espace pour une compréhension multiple, une sémantique polyvalente qui facilite une signification différente et diverse.4

En revenant au travail de Signéponge le problème du « signe » est la question essentielle de l’œuvre de Derrida. Il traite dans son interprétation du travail littéraire de Ponge le problème du comportement du signe hors de son contexte purement linguistique en s’appuyant surtout sur le concept de signifiant.

Le discours en Signéponge est composé de deux parties principales et deux sections finales courtes intitulés  « Après coup (Les Preuves) » et « Après coup (II) » qui sous la forme de petits exemples plus pragmatiques font le résumé du livre entier. Chaque partie sera traité dans la section de Synopsis qui est succédée par quelques aspects concernant la critique du livre et des opinions de spécialistes des œuvres derridiennes. Le travail est mène a mettre en évidence quelles sont les choix de Derrida pour déconstruire les textes pongiennes en les analysant, en trouvant les références qu'il donne a la problématique du signifiant.

Pour conclure, il est nécessaire de mettre en évidence les aspects qui ont beaucoup influencé la réception et la perception du livre Signéponge ??

2. Le « signe » et la « signature »

Le livre Signéponge semble comme un entretien avec le lecteur auquel Derrida s'addresse directement, en parlant comme lui même il admet à la fin de son livre, pas de Francis Ponge, l'auteur « De Francis Ponge ni de son œuvre je n'ai donc rien dit »5. Son objet d'analyse est formé de plusieurs textes de Ponge, vus par Derrida comme un entier, comme une signature unique et irremplaçable en temps et forme et pas comme la signature telle quelle d' auteur de texte ou de propriétaire du nom propre ou même du signataire. Il s'agit alors d'une abstraction de tous ces concepts, en excluant une pensée sur le concret c'est à dire sur la personne de Francis Ponge.

D'abord un fait intéressant est de déchiffrer comment le concept de « signifiant » chez Derrida se comporte-il, dans une discussion sur l’œuvre de Francis Ponge, Signéponge, car l'auteur Derrida conteste le théorie linguistique concernant la relation signifiant - signifié établie par le linguiste Ferdinand de Saussure. La dialectique derridiènne objecte devant la théorie de la langue qui établie des règles strictes et absolues concernant la relation entre un objet et un mot qui le détermine.

Les oeuvres de Derrida ont étés toujours le sujet de la critique, a cause du refus de rédiger une thèse concrète et pas contradictoire regardant plusieurs questions philosophiques comme: la relation du langage vis a vis du monde, le dégrée auquel les prescriptions de la métaphysique conditionnent le mode de penser.

Il faut aussi remarquer du commencement que Derrida déconstruit les textes pour « jouer » avec les mots, surtout avec les idées et avec la langue, pour les dynamiser et les transformer. Une importance exceptionnelle a surtout le mots clés de la poésie pongeienne pour élargir le spectre de méditation dans son discours. De cette manière on découvre que Derrida mis

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