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A l’abri de rien - Olivier Adam.

Note de Recherches : A l’abri de rien - Olivier Adam.. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  8 Décembre 2013  •  713 Mots (3 Pages)  •  3 924 Vues

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En 2007, Olivier Adam, auteur dramatique français écrit un roman dramatique intitulé « A l’abri de rien ». Le texte que nous allons étudier est un extrait de ce roman et ce passe dans le nord de la France ou une femme appelée Marie qui a été délaisse par son mari et qui est au bord du gouffre, rencontrent des immigrant qui attendent pour passer en Angleterre. Dans cet extrait Marie ce trouve avec son fils dans une voiture et durant son trajet elle croise quelque immigrant alors que les éléments naturels se déchaînent sur eux. Nous verrons dans un premier temps les pensés de Marie puis nous nous intéresserons a pourquoi cet extrait fait passer Marie pour un anti-héros

Dans cet extrait, Marie, dans une voiture, assiste au déchaînement des éléments naturels ce qui lui fait passer de rêve à réalité

Dans un premier temps Marie qui regardait le triste temps se dégrader de minute en minute alors qu’il pleuvait de plus en plus fort Marie comparait la grêle à des cailloux qu’on lance du ciel. Elle va même jusqu'à compare la pluies sur la route à des terres noyées. Elle ne voyait plus ce qu’elle faisait « mais dans ma tête à ce moment la c’était autre chose ». L’extrait montre que mari est mal en point et ne sais plus quoi penser « un sentiment de perdition. D’engloutissement ». Marie se demande même si il n’allait pas mourir « une partie de moi était persuader qu’on allait mourir » même si elle ne savait pas pourquoi. Lorsque Marie voit de temps en temps un immigrant, elle est obliger de constater son malheur « ils étaient tellement épuise, tellement démunis ». Marie utilise une répétition en « ni » pour pouvoir décrire se que ressentait les pauvres immigrant qui marchait seul sur la route « ni le froid ni le grêlon, ni la faim ni la fatigue ». Aucune autre réalité ne pourra la rendre plus malheureuse.

Alors que Marie, malheureuse, était dans sa voiture entrain de regarder les pauvres immigrants et qui en n’avait rien a faire de si il allait mourir, elle se mit a rêver et a se souvenir du passer « je pensais au chalet ». Marie utilise une répétition en « aux » pour décrire De quoi elle se souvient « au chalet aux flics aux berger allemand, aux torches aux bruits aux hurlement ». Mais ses souvenirs ne sont pas tous emplis de joie « la violence la douleur, à leur douleur à leur terreur ». Alors qu’elle était dans un autre monde et qu’elle n’entendait plus rien, son fils essaya de lui parler, Marie ne comprit pas tellement « les mots m’arrivait en désordre et sans vrai cohérence » elle comprit que son fils lui parlait tennis puis elle se comparât a un « chien en plastique sur le plage arrière de la voiture, désarticule, mécanique et vide ». Alors que Lucas dormait Marie se mit à perdre espoir « on allait s’y dissoudre aussi »

L’extrait fait donc part du désarroi de Marie qui ne sait plus quoi faire dans sa voiture au milieu de la pluie et des flaques d’eau. Elle n’est même pas sur qu’ils resteront en vie.

Tout cela fait d’elle un anti-héros.

Dans sa voiture Marie ne c’est plus quoi faire et pense même qu’ils vont mourir. Marie est un anti-héros.

Dans cette extrait Marie est impuissante contre les éléments naturels

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