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Théories Des d'organisation

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Par   •  28 Mars 2012  •  440 Mots (2 Pages)  •  2 074 Vues

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Max Weber fut le premier à étudier la bureaucratie en tant que mode d'organisation. Bien entendu, il a existé des bureaucraties avant lui. On parle de bureaucratie égyptienne, sous les pharaons, lorsque les scribes avaient acquis un pouvoir important dans la vie quotidienne. Le mot «bureaucratie» fut inventé sous la Révolution française pour dénoncer les abus de pouvoir des comités révolutionnaires. La première bureaucratie moderne fut mise en place dans la Prusse au 18e siècle. Ce fut notamment Frédéric II qui rassembla toutes les lois de son royaume sous la forme d'un code, le code Frédéric.

Au départ de la sociologie des organisations, Max Weber (1864-1920) étudie le phénomène bureaucratique en considérant la bureaucratie comme instrument de rationalité. A partir des années 40, les sociologues américains tels que R K Merton, AW Gouldner, P Selznick s’intéressent aux effets de la bureaucratie, les dysfonctions. Dans les années 50, la notion d’organisation se substitue à la notion de bureaucratie, associée à la dysfonction. C’est ainsi que Michel Crozier élabore une théorie nouvelle des formes bureaucratiques établissant notamment des corrélations entre le système bureaucratique et les relations de pouvoir.

[...] Ces principes, dans le cas du Monopole, sont limités par un contrôle social fondé sur deux forces : L’autolimitation des groupes dans leur lutte pour maintenir le système, et donc leurs avantages Le désir d’une certaine similitude avec le reste de la société La théorie des cercles vicieux bureaucratiques : La théorie des dysfonctions bureaucratiques ou de l’analyse de la bureaucratie en terme de relations humaines est contemporaine de la découverte du facteur humain et de la diffusion des relations humaines dans l’industrie. [...]

[...] Selznick s’est d’abord fait connaître comme sociologue de la bureaucratie et de la résistance des institutions aux desseins de leurs fondateurs. Si Merton insiste sur les réglementations en tant que réponses aux exigences de contrôle, Selznick (1949) insiste sur la délégation d'autorité. Comme Merton, cependant, Selznick désire montrer comment l'utilisation d'une technique de contrôle (ici la délégation) produit une cascade de conséquences imprévues. En outre, Il montre comment ces conséquences émanent des problèmes du maintien de systèmes fortement interconnectés de relations interpersonnelles. [...]

[...] Les conséquences de cette répartition du travail sont que l’efficacité varie selon la capacité des unités, les anciennes sections plus expérimentées, ayant un meilleur rendement. Les unités en tirent l’avantage de l’autonomie mais en cas d’augmentation du travail, les groupes ne peuvent pas s’entraider. Dans ce cas, l’attitude de la hiérarchie est d’exercer une pression à travers la discipline ou de faire appel à l’autorité de l’encadrement. C’est un système basé sur l’obéissance, où la productivité s’établit sur la pression des employées et non sur l’organisation

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