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Techniques d'amélioration de la production végétale et leurs impacts sur l'environnement

Dissertation : Techniques d'amélioration de la production végétale et leurs impacts sur l'environnement. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  30 Décembre 2017  •  Dissertation  •  1 257 Mots (6 Pages)  •  29 250 Vues

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République Du Benin

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Ministère de L’Enseignement Secondaire et de La Recherche Technique et Professionnelle

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Direction Départementale De L’Enseignement Secondaire Et De La Recherche Technique Et Professionnelle Des COLLINES

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Collège d’Enseignement Général 1 de GLAZOUE

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Thème

TECHNIQUES D’AMELIORATION DE LA PRODUCTION

VEGETALE ET LEURS IMPACTS SUR L’ENVIRONNEMENT

Groupe N°1

   Membres du Groupes :                                           Classe : 5ème 

  DAGBEROU Ermas Raymond

  OLAYE Melkissedeck[pic 2]

   AKOUE Raymond

   KOUTONDE Sylvano

  KETE Caleb

  KINDJI Isaac

Année scolaire 2016- 2017

Plan

Introduction

  1. Clarification conceptuelle
  2. Les différentes techniques d’amélioration de la production végétale
  3. Impacts des différentes techniques d’amélioration de la production végétale sur l’environnement
  4. Approches de solution

Conclusion

INTRODUCTION

Dans la vie, on cultive des végétaux pour les besoins alimentaires, cosmétiques, pharmaceutiques et beaucoup d’autres.. Et avec l’accroissement de la population, les besoins se sont multipliés, ce qui à amener l’utilisation de plusieurs techniques d’amélioration de la production. Dans les lignes à suivre, nous allons non seulement clarifier certains termes, mais aussi présenter les différentes techniques d’amélioration de la production végétale, leurs impacts sur l’environnement et proposer des approches de solution.

  1. CLARIFICATION CONCEPTUELLE

Il s’agira pour nous ici de clarifier certains termes pour nous permettre des mieux comprendre la suite de notre exposé.

Techniques : c’est l’ensemble des procédés qu’on doit méthodiquement employer pour un art, pour une recherche ou dans un métier.

Techniques d’amélioration : c’est donc l’ensemble des procédés qu’on doit méthodiquement employer pour obtenir en qualité et en quantité la production

La production végétale : c’est l’ensemble de toutes les cultures mises en terre qui germent et produisent des fleurs et/ou des fruits ou encore ornent : c’est l’agriculture

Environnement : c’est l’ensemble des facteurs géologiques, pédologiques et climatiques ; c’est la nature.

  1. LES DIFFERENTES TECHNIQUES D’AMELIORATION DE LA PRODUCTION VEGETALE

L’amélioration de la production végétale s’est faite tant au point de vue quantitatif que qualitatif. Elle s’est faite de plusieurs manières.

Les agricultures familiales reposent sur des techniques précises et des compétences pointues. Les agriculteurs ont donc mis au point au cours des siècles des systèmes techniques performants reposant sur des savoirs locaux patiemment améliorés et longuement éprouvés.

Ainsi, on assiste à l’utilisation :

  • Des engrais chimiques tels que

      * NPK/SB : Azote-Phosphore-Potassium/Souffre et Bore qui sont utilisés comme engrais de fond pour l’accroissement de la culture.

      * Urée : Azote perlée favorise la croissance rapide et le développement des fruits.

      * TSP : Triple Super Phosphate qui permet d’alléger les sols lourds (dans les bas-fonds, les zones de culture de riz)

Ces engrais chimiques augmentent la productivité des plantes

  •  du compost ou engrais organique

Le compostage est un processus de décomposition et de transformation «contrôlées » de déchets organiques biodégradables, d’origine végétale et/ou animale, sous l’action de populations microbiennes diversifiées évoluant en milieu aérobie.

Le compostage permet notamment de :

• réorganiser la matière organique sous forme de molécules plus stables et

diminuer le volume, ce qui permet de compenser le surcoût apparent du compostage en diminuant les frais liés à l’épandage,

• concentrer en matière sèche et en éléments minéraux ;

• de détruire entièrement et totalement des résidus et/ou emballages de produits phytosanitaires ;

• de limiter les pertes d’azote nitrique par lessivage après épandage.

En outre, le compost n’a pas d’odeur désagréable, est homogène et rend l’épandage beaucoup plus performant. Le compost est d’abord un amendement mais apporte des éléments fertilisants comme le phosphore, le potassium, le calcium, le magnésium, et dans une moindre mesure de l’azote, avec des variations importantes en fonction des produits d’origine.

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