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THORGGIS FILS DE VIKINGS

Dissertation : THORGGIS FILS DE VIKINGS. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  19 Janvier 2016  •  Dissertation  •  1 031 Mots (5 Pages)  •  667 Vues

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THORGGIS FILS DE VIKINGS

CHAPITRE 1

J'avais froid, j'avais faim. À genoux, les mains entravées par mes chaînes, mon dos strié de coups de  fouet que j'avais reçu, je maudissais Gandalf le Fou ! Et, songeant à ma belle et tendre aimée Astrid, des larmes de rage coulèrent sur mes joues.

«Odin ! Odin ! Me laisseras -tu mourir sans m'accorder ma vengeance ?»

À peine, mes mots prononcés qu'une femme apparue dans le brouillard. Ses cheveux étaient d'un roux flamboyant qui tranchaient avec la blancheur de sa peau. Son œil gauche était recouvert d'un bandeau noir et le droit me regardait d'un air sombre. À sa ceinture, était accroché un glaive et un loup de la même couleur brune que sa robe en fourrure l'accompagnait.

« Qui est-tu ? Je ne te connais pas.

-Moi je te connais Thorggis Haraldson, tu aimes la fille unique de Gandalf le Fou roi des vikings du Nord. On te prétend fils de Géants et on te surnomme ''Fils des orages'' car tu en as la colère.

J'ai besoin de ta haine et de ta force.

S'accroupissant dans l'eau froide, elle me libéra sans difficultés de mes chaînes, me faisant jurer de rester à son service une année durant.

CHAPITRE 2

Nous marchions depuis cinq jours, nous éloignant toujours plus de la mer. Elle à cheval, moi à pieds comme le loup brun qui nous précédaient. Je ne savais se que cherchais la femme sans nom et quand un soir je lui demandais, celle-ci me répondit que je devrais aller seul chercher l'objet de sa quête. Un coffre gardé par un géant vert et un nain vert. Je  ne posait pas plus de questions et pris quelques heures de repos avant l'aube. Ainsi au première brume de l'aurore, j'entrepris de gravir la montagne en haut de laquelle se trouverait le coffre que j'avais l'ordre de rapporter a la femme au loup. À midi j’atteignis enfin son sommet et pensant pouvoir surprendre les gardiens, je fus plus surpris qu'eux en voyant se dresser devant moi le géant rouge. Il porta le premier coup et me jetant dans la neige je l'esquivait non sans peine. Le monstre faisait plus de trois mètre de haut et presque autant de large. Je songeait que jamais je ne pourrait le vaincre en combats classique, j'optai alors pour la ruse. Durant plus de trois heurs j'esquivai ses coups sans qu'il ne s'essouffle. Quand enfin ses mouvements ralentirent, je me dirigeai vers le bords de la falaise et une fois de plus j’esquivais le coups du géant qui entraîner par son poids, passa par dessus bords.

J'étais exténuer de mon combats avec ce monstre et ne voyant pas le deuxième gardien, je supposait que la femme sans nom s'était trompée. Je me précipitaient dans la tours pour m'emparer du coffre.

Celui-ci trônait sur une table de bois au milieu d'une pièce, faiblement éclairé par une unique torche. Satisfait de le trouver si facilement, je me précipitais sur le coffre. Je fus arrêté dans mon hélant par des barreaux en cuivre qui m'encerclèrent.

« Ainsi tu as triomphé de mon frère.»

La voix était chevrotante comme celle d'un vieillard et aiguë comme celle d'un enfant.

« Je te félicite tu est le premier a y parvenir»

Le nain vert apparut, hormis la couleur de sa peau et sa taille, il était identique au géant et avait la même lueur de haine dans les yeux.

Les barreaux de cuivre ce resserraient autour de moi, je ne pu retenir mon cri quand il commencèrent a m’étouffer. Le méchant nain ricana.

« Cri misérable ! » Me dit il

« Ces barreaux ont l'ordre d'écraser quiconque ose franchir le seuil de cette tour.»

La maudite cage m'aurait briser les os, si de derrière le nain n'avait pas surgit le loups brun. Attrapant entre ses mâchoires le coup du vilain petit homme, il le tua sans peine. Les barreaux de cuivre disparurent aussi étrangement qu'il était apparu, et je pu attraper le coffre su la table.

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