Synthese Français Le Sport

Les trois documents proposés nous rappellent la Coupe du monde de football qui a eu lieu en 2010 en Afrique du Sud, tant les ambitions du sport se référant à l’olympisme mais aussi les dérives. En effet, les valeurs morales comme le respect et l’égalité entre les hommes garantit par le sport ont laissé place aux tricheries et aux comportements qui enfreignent la morale.

Dans son essai Pour un humanisme du sport, Yves-Pierre Boulongne rappelle en quoi le sport par le développement des valeurs et les espérances hérite des Jeux Olympiques. Dans un article de Le Nouvel Observateur de mars 2011, Isabelle Monnin cherche à comprendre les différences entre les footballeurs et leur victoire en 1998 et les dérives en 2010, à partir du travail du sociologue Stéphane Beaud. Yvon Léziard dans un article de Le Monde de 2010 compare la morale du jeu et la morale sociale.

Le sport correspond –il aux valeurs positives permettant à l’éducation de la jeunesse ?

Tout d’abord, nous verrons comment le sport se positionne face à la morale sociale, ensuite si il réussit sa mission d’éducation et enfin, quelles sont les pressions exercées sur le sport.

Le sport et la morale sociale se rencontrent car le sport développe des valeurs morales.

L’olympisme s’inscrit dans l’histoire des hommes car il est porteur d’une morale universelle et a résisté aux catastrophes de l’histoire (guerres…) d’après l’essayiste Yves-Pierre Boulongne. Son capital moral est reconnu par une instance officielle de la planète l’ONU. Le sport est donc le pilier de la société. Le journaliste Yvon Léziard nous rappelle que le sport veut s’affranchir de la morale mais est tout de même soumis au jugement de la société. Le monde du sport est distant face aux préoccupations morales, sociales ou politiques. Cela se confirme chez le sociologue Beaud, que reprend la journaliste Isabelle Monnin qui montre que les sportifs sont façonnés selon leur époque.

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