Sujet d'invention un naufragé

Seance 4-ECRITURE D’INVENTION

Consigne :   A PARTIR DU CORPUS ET DU TEXTE , REDIGEZ UNE ECRITURE D’INVENTION

-Découverte du nouveau monde :

SCENARIO : un homme du nom d’Emile âgé de 24ans fait naufrage alors qu’il était perdu au beau milieu de l’océan. Après avoir perdu connaissance, le jeune humaniste se retrouve emprisonné, les mains attachées, et l’âme confrontée à un nouveau monde.

                      Emile face à un nouveau monde :

• Attention une tempête au loin ! dit un moussaillon

C’était un soir d’hiver, l’air était froid, les vagues étaient déchainées. Le bateau d’Emile basculait de droite a gauche suite a cette abominable et affreuse tempête, qui finit par le faire disparaitre.

Le lendemain, Emile était allongé sur le sable brillant, se réveilla aveuglé par l’éclat du soleil. Il était épuisé, le soleil éclairé ses cheveux secs rempli de sable blanc. Il était habillé d’une tenue de marin qui ressemble maintenant à un vieux torchon usé. Il se leva peu a peu et regarda autour de lui. Ce lieu ne lui paraissait guère familier, il avait compris donc qu’il était le seul survivant de son naufrage et  qu’il s’était échoué sur une ile déserte.

Le ciel était dégagé, plus une seule goutte de pluie. Après la grande averse, le soleil s’écrasait sur la peau de l’homme. Il était allongé sur le sable doré et fin des rivages qui l’entouraient. Peu à peu il se relevait, sortant de l’ivresse de son aventure. Il observait autour de lui : le paysage était paradisiaque. Les longs bancs de sable à perte de vue, la faune exotique dont il pouvait distinguer des cocotiers et divers arbres fruitiers. Le ciel d’un bleu azur, se reflétait dans l’océan qui devenait alors aussi bleu. Lorsqu’il d’approchait, il pouvait observer les fonds marins et les divers petits coquillages et rochés tellement le liquide était transparent. Sur l’île, les formes rocheuses se démarquent des plantes qui les entourent. Un grand pic se distingués de tous, il était d’une longueur impressionnante mais aussi d’une couleur noirâtre comme la cendre. L’homme pouvait en déduire qu’il s’agissait d’un volcan. Il commença à s’aventurer à travers les arbres et buisions qui composaient la végétation de l’île.

Après plusieurs longes minutes d’exploration, il entra dans un cadre, tel une peinture, une cascade dévalait les pentes ardues de la montagne pour se jeter dans un grand bassin. Celui-ci, se partageait en plusieurs niveaux. Il s’avança, tendis ses mains vers l’eau et les plongea dedans. Il but alors quelques gorgées de cette source fraiche et pure. C’est alors qu’il vit un passage derrière les chutes. Il se leva et y entra.

Alors, il vit divers dessins sur les parois, gravés dans la pierre. Dataient-ils de plusieurs siècles ou années ? Il passa ses mains légèrement dessus, effleurant les contours. Soudainement, au fils de son avancé, une lumière se dessinait. Il déboucha cette fois sur un petit village. Doucement il avança, puis d’un coup, il vit un jeune garçon, il devait avoir entre onze et treize ans. Sa peau était caramelle, ses yeux émeraude et son corps encore tout fin. Il le fixait. Puis courut en directions du village, s’arrêta et lui fit de grand signes avec ses bras en sautant. D’autres personnes, identiques au petit homme, sortaient des maisons de bois et de vignes. Ils lui souriaient. L’homme se demandait « pourquoi ? » et avec précautions s’approcha d’eux. Il tenta de leurs demander pourquoi ils étaient là et l’accueillait. Les indigènes lui répondirent en dessinant sur des feuilles de bananier. Visiblement, ils ne savaient pas parler dans sa langue.

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