Soupes Et Potages

Un des marchés les plus saisonniers dans l’univers de la grande consommation en France

Plat d’hivers par excellence : 3/4 des ventes se font entre septembre et fin mars.

370 M€ de CA pour la période entre sept 2012 et mars 2013

Météo-dépendance : Effet Yo-yo mécanique immédiat de la météo sur le marché

Plus il fait froid et plus il se vend de soupes :

* 30% de la variation des ventes des produits sont imputables aux variations météorologiques.

* Les températures trop clémentes de l'hiver 2011-2012 avaient fait reculer la consommation de 20%

Les marques maintiennent leur effort comme le meilleur outil de dynamisation.

* + 3,3% en valeur d’évolution en 2013 Vs période précédente contre +6,3% en volume (source : NIELSEN).

* Les conditions météo ont contribué à +2,9% de la croissance sur la saison 2012-2013.

Sans elles, le marché serait en recul de 1,3% (source : cabinet Climpact-Metnext)

Les fabricants sont conduits à s’adjoindre les services de spécialistes climatiques pour mieux anticiper les évolutions brutales des températures et des ventes (exemple : Climpact pour Unilever)

Manque de dynamisme du marché français des soupes : marché à maturité

Recul en volume de 1,8% malgré les efforts de créativité des acteurs en terme de recettes et contenants

2013 : première années depuis 2010 de retour à une évolution positive des volumes en cumul annuel mobile

En dehors de l’effet météo, aucun moteur ou relais de croissance n'a été suffisamment puissant pour compenser les pertes de volume en dépit des efforts d’innovation

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