Résumé on n'est pas resté soi

Résumé :

Le livre raconte l’histoire d’une jeune fille, Fatou qui quitte son île de Saumon pour aller étudier au collège en France. Elle est logée chez le patriarche Pa-Dioulé, c’est une famille polygame de 18 enfants. Elle était une élève brillante, mais n’avait pas d’argent pour avoir des beaux habilles comme les enfants de bourgeois. Très vite elle fait la connaissance de Codou et sa famille. La famille de Codou est atteinte par la lèpre son mari à perdu la vue et donc par la même occasion sa capacité de travailler dans les champs, le fils lui est atteint de poliomyélite, Codou pour sa part a perdu une main mais arrive encore difficilement à travailler. Pour gagner leur vie, Guignane et Codou mendiant chez les gens en chantant des chants religieux. Codou vend également des cacahouètes devant le collège en face de chez elle, c’est là qu’elle fit la rencontre de Fatou. Elle avait des petites économies envoyées par la grand-mère qui lui évitait de devoir rentrer manger le midi. Elle mangeait des cacahouètes de Codou avec du pain. Un jour Pa-Dioulé repéra une parti de ses économies et lui vola. Il l’obligea à venir tous les matins dans sa chambre demander la somme exacte dont elle avait besoin. Le matin suivant elle s’y rendis et le patriarche tenta de la violer. Depuis ce jour elle n’osait plus lui demander de l’argent.

Elle prêta le reste de ses économies à Codou qui les utilisa pour acheter des cacahouètes. Son commerce marchait de mieux en mieux. Fatou arriva au jour où Codou avait remboursé sa dette, donc Fatou ne savait plus quoi manger. Codou lui dit qu’elle pourra toujours chercher ses 50 F chez son amie.

En conclusion : L’amitié n’a pas de prix et même dans la misère il est préférable avoir des amis que de l’argent.

La seconde nouvelle raconte l’histoire d’un mariage volé. Mlle Satou allait se marier avec M. Fried, quand pendant son mariage  elle eut un flash back  qui lui rappela son bac de français. Elle était peut-être perturbée par la chaleur, car on se rend compte que dans ses nouvelles la chaleur perturbe le narrateur. Elle était au lycée Damba-Diop, elle se remémorât le coup de foudre qu’elle a eu avec son examinateur le jour de l’examen. Il était grand, beau, jeune, cultivé. Il y a un contraste étonnant entre la manière de laquelle elle raconte son mariage, elle le trouve ennuyeux. Et le jour de son bac de français qu’elle raconte avec ardeur.

L’entretient commença et elle choisi le poème d’Aimé Césaire, qu’elle déclina à l’eau de rose. M.Fallou se noya dedans. Mais très vite la réalité du mariage refit surface et elle prononça un OUI solennelle qui la lia à M. Fried.

M. Fallou était présent au mariage et la fit regretter son choix, Fatou était déstabilisé et du renoncer à son amour d’enfance.

La troisième nouvelle racontée arrivée de Fatou à Strasbourg ainsi que les préjuger des gens envers les personnes de couleur. Dans la rue les gens la dévisage, personne ne veut l’écouter. Elle postula pour un boulot minable bien en dessous de ses qualifications réelles. Elle devenu gardienne d’enfant pour une famille qui est la représentation caricaturale d’une famille traditionnelle française, dans laquelle les parents travaillent beaucoup. Elle est exploitée, la cohabitation avec les enfants est difficile car ils ont déjà des préjugés en vers les personnes de couleurs. Elle est considérée comme un animal, objet. Géraldine, la mère se permet de faire des réflexions à Fatou, elle veut lui apprendre le français alors qu’elle à un simple bac. Fatou elle a une licence en lettre et s’afflige du manque de culture de ses employeurs. Elle se permet de répondre à Géraldine le jour où elle lui cite une citation fausse de Descart. Ce jour-là Jean-Charles et sa femme se rendent compte de l’intelligence de leur bonne. A partir de là, la bonne commence à se faire respecter, va même jusqu’à donner des cours de français à Géraldine. Géraldine et Jean-Charles arrive enfin à faire obstruction de la couleur de peau de Fatou et la considère comme une personne.

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