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RIN 1016.

Étude de cas : RIN 1016.. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  29 Octobre 2016  •  Étude de cas  •  684 Mots (3 Pages)  •  1 822 Vues

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Question # 1

La recommandation de M. Laframboise pourrait aider à calmer les inquiétudes de la direction. Ce type de régime va certainement avoir un peu d’impact positif tel que fidéliser le personnel et augmenter leur motivation. Par contre, Mme Laferrière ne veut pas revivre les insatisfactions du passées et cette proposition ne répond pas vraiment aux demandes des employés. À quoi le sondage va-t-il servir si la solution optée ne prend pas en compte les insatisfactions des travailleurs.

Ainsi, il y aurait une meilleure recommandation qui ressemble à l’idée de base de celle proposée par le spécialiste, mais qui prend en compte les besoins des salariés. La recommandation serait d’offrir un régime de participation différée aux bénéfices, le montant mis à chaque année serait encore calculé sur le pourcentage des profits réalisés par la compagnie dépassant les objectifs de l’année précédente. Voici donc les bienfaits de ce régime;

Premièrement, la direction ne souhaite pas augmenter les coûts de la main-d’œuvre ni d’avantages sociaux à long terme. Avec cette option, puisque le montant octroyé par année est un montant qui dépasse les attentes, cela n’est pas un problème puisque la direction n’avait même pas prévu avoir cet excès.

Deuxièmement, les employés demandaient un régime de retraite non-contributif, grâce à ce plan, seul l’employeur peut cotiser. Il y a d’ailleurs beaucoup d’avantages pour les employés avec ceci. Le montant versé par la compagnie est non imposable jusqu’au retrait. Si un employé quitte avant la retraite, un montant peut être retiré et au contraire, si un employé prend sa retraite, il peut retirer le total accumulé pour lui (il devra payer des impôts ou verser en franchise d’impôts dans un REER).

Troisièmement, il y a beaucoup d’avantages pour la direction de cette compagnie. Cette solution devrait amener plus de motivation à l’ensemble des employés qui vont s’intéresser aux profits de l’entreprise sans toutefois devenir une compétition entre les individus. De plus, c’est un outil en or puisque Mme Laferrière a besoin de cotiser dans ce régime seulement si elle a en les moyens, c’est donc peu coûteux. Ensuite, le montant versé dans le régime par année résulte des bénéfices avant impôts et sera donc déductible. Lorsque les employés quittent avant la retraite, ils retirent une partie, mais pas autant que s’ils avaient attendus leur retraite, ce qui va aider à fidéliser et maintenir les employés.

Pour résumer, il y a donc un lien direct avec ce régime de participation différée aux bénéfices entre l’augmentation du rendement, la fidélisation des employés et leur satisfaction. Ils vont être contents que l’entreprise est pris en considération leurs demandes et l’entreprise en ressort aussi des bienfaits. Pour mieux comprendre, voici une comparaison entre les deux solutions;

La recommandation de M. Laframboise, permettait une prime annuelle, mais où l’impôt aurait été prélevé lorsque les salaires auraient été versés. Tandis que la nouvelle recommandation permet une accumulation dans un fond avec probablement des intérêts et l’impôt aurait été prélevé seulement au moment où l’argent aurait été remis. De plus, comme

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