Accident du travail

1.2

Cet événement a été un accident du travail, car il est tout à fait imprévu. Personne ne peut prévoir un tel événement. La chute d’une équerre qui fait tomber une tablette sur une employée est beaucoup trop de hasard en même temps, par le fait même, il a été soudain.

Ce n’est pas considéré une maladie, car ce n’est pas caractéristique du travail ou un risque causé par l’emploi à titre de vendeuse.

1.3

Le travail n’était pas adapté pour une vendeuse affectée aux services aux clients. Aucune protection de genre : lunette de sécurité, botte de travail ou casque de construction n’était par utilisé par l’employé. Aucune connaissance précise pour travailler de façon sécuritaire n’a été analysée ou considérée par la gérante pour éviter cet accident. Aucune méthode de travail n’a été envisagée. Ne serait-ce que de travailler en équipe pour s’assurer de supporter en cas d’imprévu.

1.4

Coûts directs (2) :

- Les frais de consultation chez un dentiste et un chirurgien dentaire

- Les frais pour l’implant ainsi que les appareils de transition nécessaire (broche temporaire)

Coûts indirects (2) :

- Les rendez-vous chez le spécialiste sont de jour donc sur le temps de travail, donc du temps de travail perdu.

- Le remplacement nécessaire du travailleur constitue un coût pour l’employeur

Coûts humains (2) :

- Pour l’employé le stress causé par la chirurgie est un stress psychologique important

- La peur du résultat final du changement physique possible est aussi un impact d’un tel accident

1.5

Pour l’employeur les cotisations vont augmenter d’autant plus que cet accident qui a une cause apparente a été traitée par la CSST et va rester actif aussi longtemps que l’accidenté sera travailleur, car un implant à une durée de vie d’environ 10 – 15 ans. Il y a donc des coûts futurs qui auront un impact sur les cotisations de l’employeur à la CSST.

La personne reçoit en plus de l’assurance salaire durant son absence du travail pour tous ces rendez-vous-même dans le futur en autant qu’il soit travailleur.

L’employeur doit également fournir l’effort nécessaire selon les coûts possibles d’éviter qu’un tel accident se reproduise. Des solutions possibles sont entre autres de toujours faire ce travail en équipe.

1.6

2 arguments : L’inexpérience du personnel de gestion peut avoir eu un impact sur cet accident. Je recommanderai :

1. Le professionnel en SST joue de plus en plus un rôle sur le plan de la définition des grandes stratégies organisationnelles. Il donne son point de vue sur la planification des grandes activités de développement et de transformation dans l’entreprise. Il entretient des liens étroits avec la direction de l’entreprise. Il est la personne indiquée pour renseigner sur la prévention, les risques et les moyens de protection à mettre en place.

2. Le professionnel en SST aide l’organisation à résoudre efficacement des problèmes de SST. Il assume des fonctions administratives de suivi des dossiers des lésions professionnelles tel que l’accident cité plus haut.

Semaine #2

2.1

L’organisation relève de la compétence provinciale, car l’industrie du vêtement, ne fait pas partie de l’article 91 & 92 qui sont couvert par la Loi Constitutionnelles de 1867 .

2.2

Un comité de santé et sécurité se compose à égalité de salarié et de gestionnaire. Le CSS permet la prévention dans l’organisation ainsi qu’assurer la sécurité des employés. Le CSSS permet aussi d’officialiser les efforts déployés en matière de prévention .

3 rôles que le comité peut jouer sur le plan de la prévention des accidents décrits au point 1 :

1. Le comité peut faire connaître dans son milieu diverses situations à risque et démontrer comment travailler de façon sécuritaire. Par exemple, ne travailler seulement qu’en équipe pour éviter d’être seul lorsqu’un équipement tombe.

2. Le comité doit avoir un rôle décisionnel : par exemple, dois pouvoir soutenir que le travail de replacer des tablettes doit être fait par un étalagiste qui est équipé pour faire un tel travail.

3. Le comité peut assister l’employé qui doit faire une plainte à la CSST et lui donner le soutien nécessaire.

2.3

L’entreprise serait membre

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