Problématique : Le développement de la technologie entraine-t-il une perte de liberté ?

Problématique : Le développement de la technologie entraine-t-il une perte de liberté ?

I- Le développement d’internet : vidéosurveillance et commerce électronique.

A) L’évolution de la technologie est porteuse de progrès et de confort (doc 3), ce développement est marqué par la démultiplication des caméras de vidéosurveillance dans les villes, réseaux de transports (doc 4).

B) Aujourd’hui on constate une omniprésence des caméras et tout autre moyens de surveillance, comme en Angleterre où une personne peut être filmé 300 fois par jour (doc 3). Cette présence est associée à la notion de « Big Brother », présence sur les affiches, existence du télécran… (doc 1) et d’une « Police de la Pensée »

Transition : Les documents mettent en perspectives toutes ses évolutions de la technologie, mais aussi sur les raisons qui vont expliquer un tel développement.

II- Ce qui peut expliquer un tel développement.

A) Dans le cadre de la lutte contre le terrorisme les citoyens ont acceptés ce dispositif qui permet une prévention contre celui-ci (doc 3). La hausse du terrorisme oblige les autorités à trouver des solutions pour contrer cette monté en puissance.

B) L’explication la plus explicite est que ce développement entraine une notion de confort et de sécurité dans l’esprit des citoyens (doc 3) un rapprochement de mots entre « sécurité » et « surveillance » met en évidence cette notion (doc 4).

Transition : Malgré les contrôles sur la surveillance, l’évolution de la technologie à emmener avec elle des risques sur la vie privée des citoyens.

III- Les risques pour les citoyens.

A) La vidéosurveillance a ses limites : menace sur la transmission d’informations relayées par les médias (doc 2). Violation de la vie privée, par le biais des « cookies » infiltrés dans leurs ordinateurs et qui permet de connaitre exactement les gestes faits et les informations que la personne à exécuté (doc 2).

B) Une autorité est là pour contrôler et réguler la surveillance pour qu’il n’y est pas d’abus sur la vie privée des citoyens (doc 2 et 3) mais cette autorité est dénoncé par des associations comme par exemple la CNIL, mettant en évidence la limite de ce contrôle (doc 3).

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