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Peine de mort tfa

Dissertation : Peine de mort tfa. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  5 Mars 2019  •  Dissertation  •  6 080 Mots (25 Pages)  •  502 Vues

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Table des matières

Introduction        2

Chapitre I : Présentation du fait social        3

I.I.  Définition de la peine de mort        3

I.II. Les différentes manières d’exécution:        3

I.III. Les pays pratiquant toujours la peine de mort        5

I.IV. L’histoire de la peine de mort        7

I.VI Les organisations luttant contre la peine de mort……………………………..8

Chapitre II : Question de départs et hypothèses        10

II.1. Problématique        10

II.2 Première hypothèse        10

II.2.1 Vérification        10

II.3 Deuxième hypothèse        13

II.3.1 Vérification        13

Chapitre III : L’apport théorique        15

III.I. Biographie de l’auteur        15

III.I. Recherches apportées        15

Chapitre IV : Conclusion        17

Chapitre V : Bibliographie        18

Chapitre VI: Annexe

Introduction

La peine de mort est le sujet principal de ce travail de fin d’année dans le cadre du cours de sciences-sociales. J’ai choisi ce thème car c’est un fait social qui m’intéresse depuis l’année dernière lorsque des membres d’Amnesty International sont venus dans le cadre de mon cours de religion pour nous en parler. La peine de mort est aussi toujours d’actualité pour certains pays. En effet, elle touche de nombreux pays du monde et nous pouvons encore entendre de nos jours que certaines personnes sont mises à mort aux Etats-Unis, en Chine, au Pakistan et bien d’autre. En 2016, on note que 1032 personnes ont été exécutées dans le monde sans compter la Chine, se qui est 37% plus faible qu’un 2015 ou le chiffre était de 1 634 personnes pour un total de  25 pays.[1]

De plus, beaucoup de personnes ont un avis mitigé sur ce sujet et c’est pourquoi ce travail de recherche vous aidera peut-être à mieux le comprendre.

Cet ouvrage est divisé en trois chapitres, dans le premier je vais vous introduire le fait social à l’aide de ses caractéristiques, autrement dit, sa définition, les différents procédés utilisés, les pays pratiquant encore cette peine, son évolution historique et enfin, les organisations luttant contre cette peine.

 A la fin de cette partie descriptive, des questionnements naîtront et viendra ainsi le second chapitre qui portera sur ma problématique et mes hypothèses. A l’aide de plusieurs recherches, je confirmerai ou infirmerai celles-ci.

Pour finir, le dernier chapitre contiendra un apport théorique qui vérifiera notamment une de mes hypothèses.

En 2016, 106 pays ont abolis la peine de mort, 7 ne la pratiquent plus pour des crimes de droit commun, c’est-à-dire des infractions qui porte atteinte à l’ordre général d’un pays. 30 autres pays respectent un délai sur les exécutions et 57 pays l’utilisent toujours.[2] L’abolition de la peine de mort progresse au fil des années, passant de 16 pays abolitionnistes en 1977 à 105 pays en 2017.

Chapitre 1 : Présentation du fait social

I.I. Définition de la peine de mort

La peine de mort est l’un des châtiments physiques les plus anciens inventés par l’humanité. Elle prive une personne du droit de vivre à la fin d’un procès lorsque celle-ci a commis un crime capital. Ce crime varie selon les pays mais généralement ce sont des individus ayant accompli un meurtre, des actes terroristes, un adultère, des fraudes, de l’espionnage, des pirateries ou même un choix sexuel. Une personne mineure peut être condamnée à mort dans certains pays comme pour l’Arabie Saoudite, Nigéria et l’Iran[3]. Les détenus sont souvent mis dans des quartiers pour condamnés, de ce fait, ils ne connaissent pas le jour de leur exécution ou même ils ne savent pas non plus s’ils pourront voir leur famille une dernière fois. Cette peine sert à intimider les gens, protéger la société et donner un sentiment de sécurité à celle-ci. Elle porte atteinte au droit de la vie et le droit de ne pas subir d’acte de torture.

Il existe diverses manières pour mettre fin à la vie d’un condamné et l’utilisation de  celles-ci diffèrent selon les pays et les époques. Auparavant, les moyens les plus courants étaient la crucifixion, l’immersion dans l’eau bouillante, l’écartement, l’empalement, le bucher, le broiement, la mise en pièce. Actuellement ces procédés ont évolué et ont été remplacé par la lapidation, la chaise électrique, l’injonction létale, la décapitation, la fusillade ou bien encore la chambre à gaz.

I.II. Les différentes manières d’exécution

Comme vu précédemment, de nos jours, il existe plusieurs procédés pour exécuter une personne. Il faut tout de même souligner que depuis les alentours du 19ème siècle, on essaye d’amoindrir la douleur pour les condamnés. Voici quelques explications de certaines méthodes:

  • L’injonction létale

C’est lors du règne d’Hitler que fût suggérée cette procédure. En effet, son médecin personnel proposa d’administrer du poison dans les veines des prisonniers. Elle est donc apparue plus tard vers les années 1980. Cette pratique consiste à lier la personne à un fauteuil et à lui injecter à plusieurs reprises des produits mortels dans le sang. La première drogue est un calmant pour que la personne devienne inconsciente. La deuxième injection est un paralysant visant tout les muscles sauf le cœur. Enfin, la troisième piqûre sert à provoquer un arrêt cardiaque. C’est la façon la plus éthique mais elle comporte quelques inconvénients. Durant la première injection, même si la personne est droguée, elle reste consciente de plus, la dernière drogue brulerait tout l’intérieur du corps de la personne donnant alors des douleurs intenses. Enfin, il peut y avoir des accidents dans le cas où les médecins dosent mal les poisons. La personne devient alors agressive d’où le fait de l’attacher au début de la procédure. Le corps est ensuite mis dans un cimetière de la prison avec son nom et sa matricule écrite sur une croix blanche. Cette méthode est notamment très utilisée aux Etats-Unis.

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