Note de synthèse à toute vitesse

Corpus numéro 1 :

On sait qu’aujourd’hui la vitesse peut provoquer la mort mais on sait aussi que beaucoup de personne ont cette passion pour la vitesse. Et l’évolution fait que beaucoup de voitures sont de plus en plus puissantes

Cette note de synthèse rassemble un essaie extrait de “Vivre vite” de P.BESSON écrit en 2016, un extrait d’article de “Ce que nous dit la vitesse” écrit par J-P. DOMECQ et une photo d’A.WARHOL intitulé “Five death in orange”

A l’aide de ce corpus il serait intéressant de se demander pourquoi l’homme aime tant la vitesse alors que ça le met en danger ?

On va donc répondre selon deux axes, l’amour pour la vitesse peut provoquer la mort dans un premier temps puis la mort n’est rien comparé à la passion

Dans une première partie on se penchera sur l’amour pour la vitesse peut provoquer la mort. Premièrement on peut étudier la couleur utilisée par A.WARHOL qui est le orange et qui est assimilé au danger et qui nous mène ici à la mort de personne dans un accident. Dans les extraits de P.BESSON et de J-P.DOMECQ, on s’aperçoit que la passion pour la vitesse pousse les personnes à se surpasser quitte à ne plus avoir les notions du danger et de la mort. En s’appuyant sur la photo de A.WARHOL en plus de causer sa propre mort le passionné par amour pour la vitesse peut entrainer avec lui d’autres personnes, comme la femme morte se situant à l’arrière de la voiture. Comme l’indique J-P.DOMECQ James DEAN s’est tué dans un accident de voiture causé par la vitesse, qui était sa passion, ce qui met en lien la vitesse et la mort. De plus comme l’indique le titre de l’œuvre d’A.WARHOL on parle de cinq personnes mortes, on peut donc voir la personnification de la voiture qui est elle-même une personne.

Enfin la passion signifiant souffrance en latin lie nos deux notions de passion et de mort.

Dans une seconde partie on étudiera que la mort n’est rien comparé à la passion. Tout d’abord nous pouvons faire le lien avec notre première partie à travers “Five death in orange” car le conducteur qui aime la vitesse en plus de mettre fin à ses jours peut aussi lever la vie à d’autre personne pour vivre sa passion. La mort des autres ici n’est rien comparé à la passion pour la vitesse. De plus comme le montre J.BESSON, la mort est dite belle pour James DEAN car il est mort en faisant ce qu’il aimait. Cette notion de mort est allégée par le fait que la passion prend le dessus. On comprend à travers l’extrait de J-P.DOMECQ que risquer sa vie c’est se sentir vivant, lorsqu’il écrit que la piste de course “tourne autour de la mort”, on repousse toujours nos capacités car la passion passe avant la peur de mourir. Selon lui les coureurs de Formule 1 joue à un jeu, comme le ferait un joueur de foot ou bien même un nageur lors d’une course. La mort est donc un jeu. Ce qui relie la mort et la passion dans l’œuvre de A.WARHOL est la couleur utilisée qui peut être assimilé au feu qui représente et la passion et le danger.

On peut donc en conclure que, la passion de l’homme pour la vitesse lui permet de se sentir vivant c’est cela qui le pousse à aller au-delà de ses limites voir jusqu’à la mort. L’amour pour la vitesse prend alors le dessus sur la peur de la mort. On se surpasse pour atteindre le point culminant de la passion.

On peut se demander si quel que soit sa passion, la pousser à l’extrême ne serait pas source de danger ?

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