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Les Canons De La Beautés

Dissertation : Les Canons De La Beautés. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  4 Avril 2014  •  1 110 Mots (5 Pages)  •  1 448 Vues

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Nous allons vous parler des cannons de la beauté à travers les siècles.

Définition d'un canon de la beauté

La beauté physique est déterminée par des normes qui doivent être respectées par des individus.

Ces normes varient au fil des siècles, s'inversant du tout au tout en peu de temps parfois.

Il détermine si une personne est belle ou pas, en fonction de son apparence et de l'époque à laquelle elle vit.

L'Antiquité : corps athlétiques et jeunesse magnifiée

Le corps athlétique est exalté, les proportions parfaites admirées.

Les femmes comme les hommes s'exercent au sport, appliquant la devise :

Un esprit sain dans un corps sain.

Peu de maquillage était utilisé. En accordant avec l'amour du sport existant à cette époque, la femme idéale est jeune, athlétique et bien proportionnée.

Le Moyen Âge : l'âge des jeunes filles nubiles

Au Moyen Âge, le maquillage, sous prétexte qu'il travestit les créatures de Dieu, est interdit par l'Eglise toute puissante. Une seule couleur est tolérée, "le rouge de la pudeur". La Vierge Marie est alors généralement représentée comme une statue sans aucune féminité. De nouvelles caractéristiques propres aux femmes. Le visage prend une importance particulière, le front haut, grand, afin de donner un air juvénile, pré-pubère. La peau devait être la plus blanche possible, symbole de pureté. La silhouette est fine, les hanches étroites, les seins petits et écartés, même si le ventre est rebondi. Le maquillage étant interdit par l’Eglise, les femmes présentent leur visage sans artifice. Les cheveux blonds et ondulés étaient aussi un signe de beauté.

La Renaissance : le retour de la féminité

Le retour de la féminité incarne un nouveau tournant dans la beauté féminine. La mode est aux courtisanes vénitiennes, considérées comme les plus belles femmes. Cheveux d’un blond vénitien, femmes charnues, le corps tend vers l’opulence. La silhouette est formée en X, avec une poitrine généreuse et des hanches larges. La peau quand à elle continue d’être très blanche.

XVIIe : le culte de la sophistication

La taille doit être fine, la poitrine opulente. Le buste est sévèrement maintenu dans un corset, de l’ampleur est donnée aux hanches par des paniers. La peau est très blanche, très poudrée, avec les lèvres rouges, faisant ressortir la sensualité féminine. Certaines nobles vont jusqu’à se surligner les veines de bleu, pour montrer leur lignage. Les cheveux sont cachés sous une perruque poudrée de blanc, pouvant atteindre des tailles très importantes.

XVIIIe : le retour au naturel

Le retour au naturel marque un retour vers des beautés plus naturelles.

Les femmes sont moins fardées, mais se collent des mouches, des petits morceaux de taffetas noir ayant diverses significations suivant leurs positions.

Les coiffures sont moins strictes, mais souvent décoiffées.

La silhouette quand à elle reste semblablement la même.

XIXe : entre belle malade et épouse vertueuse

voit l’apparition de deux idéaux de beauté féminine.

- En premier, la bourgeoise vertueuse, fier reflet de ses nombreuses maternités et de la réussite de son mari, potelée, peu ou pas maquillée, la peau laiteuse. Sa silhouette est façonnée par un faux-cul, la taille la plus fine possible, serrée par un corset, mettant en avant une poitrine généreuse.

- Le deuxième idéal de beauté se révèle très différent de la bourgeoise accomplie : c’est celui de la « belle malade ». A l’opposé de la bourgeoise bien en chair, la « belle malade » est mince, presque maigre, le teint cireux, et des yeux cernés.

Que ce soit l’un ou l’autre de ces canons de beauté, c’est les brunes qui triomphent, leur couleur de cheveux rappelant l’exotisme et la sensualité des femmes orientales, admirées à cette époque.

la mode donne à la femme davantage de coquetterie à l'image de la Parisienne.

Les vêtements deviennent plus sophistiqués pour les femmes élevées socialement .

XXe : de la garçonne à Marilyn

Les années d'après-guerre voient naître une “nouvelle” femme, davantage libérée et provocante. Toutes les femmes rêvent alors d'être Marylin puis Brigitte Bardot ou encore Sofia Loren

Les femmes quittent leurs corsets et leurs couches de vêtements pour des tenues moins chargées. Le corps mince devient synonyme de bonne santé, le corps devient androgyne, avec des épaules musclées, une allure élancée, de petits seins et des cuisses galbées. Après la Seconde guerre Mondiale, la femme mince n’est plus autant appréciée, elle redevient le signe d’une mauvaise santé.

Les femmes plus pulpeuses sont à l’honneur, tel Marilyn Monroe.

Cependant, la femme mince redevient rapidement symbole de beauté, jeune, dynamique, elle a aussi le teint hâlé.

Les canons de la beauté à l'aube du XXIème siècle

Dans les années 90 et au début du XXIème siècle, on voit apparaître des

mannequins extrêmement minces.

«Le poids idéal d'une femme mesurant 1,68 m est passé, selon les indicateurs des revues de beauté, de 60 kg en 1933 à... 48 kg en 2001 ! ..c'est la dictature

de la mode »

La construction de la "femme parfaite" grâce aux outils numériques

Que cela soit dit une bonne fois pour toutes non la femme au corp parfait n’existe pas, Même les mannequins qui posent en couverture des magazines en papier glacées ou dans les publicités ne sont pas tout à fait réelle. Elles sont bien souvent passé par la case photoshop: leur petite imperfection sont gommées par le logiciel de retouche. Mais pas seulement leur yeux sont agrandi, leurs seins gonflés leurs jambes rallongées.

La mode, la publicité, le star système ont fabriqué et fabrique toujours des images stéréotypées du corps féminin : plus sexy plus mince, plus jeune. Et si le reve tournait au cauchemar pour votre amie, sœur, femme, fille, mère.

Les mécanismes étonnant de l'anorexie

Différents auteurs ont indiqués que les médias jouaient un rôle important dans la perception négative de la forme et du poids de notre corps. Ainsi les hommes et les femmes s’efforcent de rester dans le but d’adhérer à un idéal corporel standardiser. Donc 90% des femmes sont concernées par le trouble de l’anorexie.

La charte d'engagement volontaire sur l'image du corps

La charte sensibilise le public à l’acceptation de la diversité corporel (il faut que les gens accepte les différent corps qu’ils ont), protège la santé des populations, mieux informer le public sur l’utilisation de l’image du corps pour éviter les phénomène de stigmatisation et de promotion de la maigreur

Miss Ronde

Le concours de miss ronde a été créer par un mari face au complexe de sa femme.

Une seule obligation pour se concours faire six kilo de plus que sa taille.

Conclusion

Le corps de rêve évolue au file des années, mais il n’y a pas de limite avec les médias et les publicités ce qui mets en danger de nombreuses personnes qui pensent que c’est possible de ressembler au photo sur les magazines

Aujourd’hui il existe des élections miss ronde cela permet a ces personnes de s’accepter comme elles sont et de montrer que des filles avec des formes peuvent plaire.

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