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Le travail est inné en l’homme ?

Fiche : Le travail est inné en l’homme ?. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  3 Mai 2021  •  Fiche  •  1 001 Mots (5 Pages)  •  487 Vues

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Philosophie[pic 1]

        De tout temps l’homme a travaillé pour subvenir à ces besoins. Le travail a toujours eu une grande importance dans l’existence humaine. On est donc en mesure de ce demander : Le travail est inné en l’homme ? À cette question l’auteur répond que le travail se doit d’être cultivé, se qui s’oppose à l’idée que le travail est inné en l’homme.

        Pour justifié cette thèse, l’auteur procède en deux étapes, tout d’abord il explique en quoi l’idée de travail lien au genre humain, il exprime ensuite sa thèse sur le fait que le travail est une culture qui doit par conséquent s’apprendre.

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        Le texte débute sur la phrase : " Il est de la plus haut importance que les enfants apprennent à travailler ". Par travail on entend, l’ensemble des activités par lesquelles l'homme satisfait ses besoins et transforme la réalité. Dès cette première phrase l’auteur exprime le fais que le travail s’apprend, qu’il faut commencé ce travail d’apprentissage dès l’enfance et que cela a une importance primordial. Cette idée de la nécessité d’apprendre  à travailler dès l’enfance revient tout au long du texte. " L’homme est le seul animal qui doit travailler. " Cette affirmation pourrait être remis en question par le fait que l’homme n’est pas le seul animal a créer des artefacts. En effet certaines espèces de singes sont aussi apte à concevoir des artefacts, pour autant peut on parlé de travail. Le travail répond à un besoin par une transformation physique ou psychologique ce qui n’est pas forcement le cas pour un singe, il ne transforme pas la nature de manière importante. Par la suite Emmanuel Kant insiste sur le fait que l’homme a besoin de travaillé, il pense que cette affirmation tend a une certaine universalité, il exprime cela par la formule : " doit assurément recevoir une réponse négative ". On pourrait citez une étude réalisé par l'Université de Princeton et publié en 2006 dans le magazine Science Magazine sur l’argent et le bonheur, cette étude montre que le bonheur augmente jusqu’à un certain salaire mais qu’après un certain seuil le bonheur diminue. Cette étude prouve que les personne n’aillant plus besoin de travailler sont plus malheureuses que les personnes travaillant mais aillant un plus petit salaire. L’homme a d’après Kant cette nécessité de travailler même si cela implique une certaine contrainte. L’auteur utilise ensuite Adam et Eve, une image religieuse pour appuyer son propos, il affirme qu’il est faux de penser que l’oisiveté, c’est à dire ne rien faire d’autre que rester assis ensemble, chanter des chants pastoraux et contempler la beauté de la nature, aurait fait autre chose que les torturer. Il applique l’exemple d’Adam et Eve à tout les hommes avec la formule : "L’ennui les eût torturés tout aussi bien que d’autres hommes dans une situation semblable. "

        Kant commence sa deuxième partie en réaffirmant le fait que l’homme se doit d’être occupé mais il rajoute à cela l’idée que le travail doit avoir un but, un but qui le force à travaillé de telle sort qu’une fois le travail effectué il se sente épuise et puisse trouvé le repos. On pourrais rétorquer à la formule : " le meilleur repos soit pour lui celui qui suit le travail. " que le repos n’existe pas sans effort, sans travail. Le travail précède toujours le repos. D’après Kant la notion de repos est la raison pour laquelle il est important d’apprendre aux enfants à travailler. " Et où donc le penchant au travail doit-il être cultivé, si ce n’est à l’école ? " Cette phrase reflète bien la thèse de l’auteur car d’après lui le travail n’est pas inné il faut donc apprendre à travaillé. L’école étant un lieu d’éducation, c’est à cette endroit que l’on apprend ce qu’est le travail, de plus le mot " cultivé " appuis bien sur cette notion d’apprentissage du travail, ce mot appuis aussi sur le fait que le travail est une part de notre culture. D’après Kant l’école est une culture par la contrainte, c’est à dire qu’à l’école, lieux d’éducation et comme dis précédemment, lieux d’apprentissage du travail éduque par la contrainte. Autrement dis le travail s’enseigne par la contrainte. L’auteur explique ensuite que le travail doit bien être séparé du repos et de l’amusement mais que les deux sont nécessaires : " Il doit avoir du temps pour ses récréations, mais il doit aussi y avoir pour lui un temps où il travaille ". Il conclus par la phrase : " Et si l’enfant ne voit pas d’abord à quoi sert cette contrainte, il s’avisera plus tard de sa grande utilité."

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