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Le travail est-il un effort?

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Par   •  16 Février 2020  •  Cours  •  1 677 Mots (7 Pages)  •  614 Vues

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         Depuis quelque temps je m'interroge à propos du monde du travail.En effet j'arrive au termes de mes études et me rapproche de plus en plus de cela.J'entre dans une période ou il est temps de faire des choix ,de prendre des décisions afin de trouver ma « voie » et de me diriger vers mon future métiers. Cependant en observant mon entourage , et plus particulièrement ma mère, j'associe le travail à une tache répétitif, fatigante et contraignante. De fait j'appréhende mon avenir et je me demande, perplexe, si il est possible de trouver du plaisir et une certaine satisfaction au seins de son travail. Autrement dit le travail est il systématiquement liée à un effort , une souffrance , ou au contraire est il envisageable de le prendre comme un outils d 'épanouissement et de bonheur ?

       Avant tout le travail est perçu généralement comme la relation fondamentale entre l'homme et la nature.Plus précisément il désigne le processus de transformation de la nature en biens utile a l'homme afin d'assurer ces besoin.En effet le travail ce place comme une nécessite dans laquelle l'homme se trouve afin de subvenir à ces besoins primordiaux qui sont de boire , de manger et de dormir. Et l'homme n'y parviendrait que par la production d'un effort qui engendrerait une perte d’énergie et donc qui serais obligatoirement pénible , ardu et douloureux.Ainsi on entend par le termes « effort » la souffrance.

Dans un premiers temps nous verrons historiquement que le travaille est systématiquement liée à l'effort a travers la société passée et présente. Puis  en seconde partit nous nous pencherons sur le fait que le travail puisse apporté a l'homme du bonheur sans être liée a la souffrance.

       

    Si l'on s'en réfère a l'histoire le travail est sans cesse représenté de façon péjorative.Il s’agit en effet d’une action qui est infligée à l’Homme par des individus qui lui sont supérieurs. Dès sa création, le travail possède cette dimension pénible et négative liée au seul fait qu’il s’agit d’une action dictée par l’extérieur et qui pèse sur l’être humain.  Effectivement l’étymologie latine du mot travail, « tripalium », signifie « instrument de torture ».C’est donc une action liée à la souffrance et qui possède une dimension fortement négative.De plus le nom travailleor qui donnera travailleur ne signifiait d'ailleurs pas à l'origine l'ouvrier ou l'artisan, mais le tourmenteur ou le tortionnaire, celui qui "travaillait" les membres du condamné. Toujours dans ces termes latin, on oppose généralement l'otium , le loisir studieux, au negotium, le travail, les affaires qui a une signification négative du fait de l'utilisation de la racine neg. En outre que ce soit dans les religions monothéistes ou polythéistes le travail possède, dans les récits, la caractéristique de n’être pas naturel chez l’Homme, et donc d’être imposé par un élément externe. En effet, dans la religion chrétienne, la Bible présente tout d’abord l’Homme dans la Genèse à l’état de nature, comme un être vivant dans le jardin d’Eden, où il n’a pas besoin de travailler pour vivre car ce jardin lui offre naturellement de quoi exister agréablement. Cependant après avoir goûter au fruit de l'arbre de la connaissance Dieu condamna Eve à enfanter dans la douleur et a Adam de travailler a la sueur de son front a fin de subvenir a ces enfants.De fait on constate que le travail est considéré comme le châtiment causée par le péchés originel.Dieu lie la souffrance au travail de manière puissante car il s’agit en quelque sorte d’une malédiction prononcée par cet être divin. Enfin on retrouve cette forme d'effort pénible du travail dans l'Antiquité,  Aussi c'est parce que le travail est par nature dévalorisant qu'il ne peut être confié qu'à des êtres dont la condition est dévalorisée : les esclaves. Par opposition l'homme libre et heureux sera celui qui a des loisirs, c'est-à-dire qui ne sera pas contraint de travailler pour subvenir à ses besoins, ses esclaves ou ses domestiques s'en chargeront.Ainsi historiquement on remarque que le travail est considéré comme labeur.

      Le monde du travail a évolué sous forme d’une société de consommation et a pour conséquences de nous exploiter, de nous aliéner, nous cloîtrer dans des valeurs basé sur la possession de biens au détriment du bien-être de chacun. Nous sommes des esclaves du travail qui nous prive d’une bonne partie de nos libertés comme l’épanouissement et le divertissement. On peu prend exemple sur le Fordisme , un travail repentie , intense , a la chaîne qui pour améliorer la productivité. Ainsi cela traduit l'effort qu'on nous demande dans cette état d’aliénation qui nous réduit au rend de machine. Ainsi le monde du travail serais proche de l'esclavage. La société de consommation qui nous entoure dévalorise grandement les travailleurs. On peu prendre ici comme exemple concret la société Apple : Il est presque impossible de renvoyer son produit Apple pour le faire réparer, il faut inéluctablement le faire remplacer : Au lieu de créer des emplois pour des ingénieurs ou autres d’occuper des postes qui sont chargés de réparer le portable par exemple, la société en question  préfère surcharger les ouvriers chinois qui s’occupent de la création et de l’assemblage des pièces. On se retrouve avec plus de travail pour l’ouvrier chinois payé au même salaire avec autre part dans le monde un ingénieur au chômage. Cela nous enferme de des valeurs contestable et accentue encore plus le malheur des hommes dans le monde du travail.

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