Le Roman Doit-il Faire réfléchir Ou Seulement Distraire ?

Depuis les romans de chevalerie du Moyen Age, le roman n'a cessé de se diversifier jusqu’à aujourd'hui. Le roman est, par définition   un récit en prose, qui peut être, d'analyse, d'aventure, autobiographique ou historique en sachant que chacune de ces genres alternent une part de réelle et d'imaginaire. Le roman est peu considéré jusqu'au 18éme siècle, car il ne figure pas dans la hiérarchie des genres et ne respecte aucunes règles formelles. Mais par la suite, il est apprécié des écrivains et prend de l'importance, puisque comme tout textes narratif le roman est un moyen d'expression. Le roman cherche soit a éveiller l’intérêt par la peinture des mœurs, soit a répondre au désir d'évasion du lecteur, d'être hors des lois du réel. En allant dans ce sens, le roman doit-il faire réfléchir ou seulement distraire ? Dans un premier temps, nous examinerons comment le roman peut faire réfléchir la société puis par la suite, nous étudierons comment le roman distrait les lecteur au travers de sa lecture.

Tout d’abord nous analyserons comment le roman peut-il faire réfléchir la sociétés. De tout temps, le texte argumentatif a servi à faire passer les idées de ses auteurs et à faire évoluer la façon de penser des lecteurs. En effet, l’argumentation sert beaucoup à l’auteur car il peut inclure dans son œuvre sa façon de penser et ainsi la démontrer grâce à des arguments concrets. Il convint et persuade donc le lecteur à être sensible à sa cause. Pour convaincre, l’écrivain argumente et fait appel à la raison, aux facultés d’analyse et de raisonnement, à l’esprit critique du lecteur pour obtenir son accord après mûre réflexion. Il fait appel aux sentiments et aux émotions du lecteur et le persuade donc. On peut remarquer que de nombreux romans comme par exemple « Candide » de Voltaire sont à la fois des romans pour nous distraire et à la fois ils nous font réfléchir. Les romans autobiographique comme « un secret » de Grimbert, nous font remarquer que ces romans sont la vie des auteurs, comment ils voyelle la société...

Les romans peuvent faire réfléchir car dans chaque romans que l'univers soit fictif ou réelle il y a toujours une morale à la fin, comme Jean de La Fontaine avec le livre « Fables ». Dans la fable « Le corbeau et le renard » à la fin il y a une morale comme chaque fable de la Fontaine : « Le Corbeau, honteux et confus,

Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus. »

Chaque romans nous montre à la fin une morale, où des instants réelles de la vie comme « Boule de Suif » de Guy de Maupassant. Dans ce roman on peut remarquer que Boule de Suif est une victime, qu'on ce sert d'elle, ce qui est encore le cas maintenant avec péripatéticienne et leur patron, qui ce servent d'elle pour obtenir maintenant de l'argent. Dans Boule de Suif ils veulent partir de l'apprise de Prusse et font donc appel a Boule de Suif qui est une fille de joie.

Balzac grâce à « La Comédie Humaine », les défauts des hommes comme l’avarice avec Gobseck, l'amour paternel poussé jusqu'à la déraison. « Goriot mettait ses filles au rang des anges, et nécessairement au-dessus de lui, le pauvre homme ! Il aimait jusqu’au mal qu’elles lui faisaient »(Page ). Gobseck comme tous les auteurs veut nous faire comprendre que l'homme a de nombreux défauts qu'ils soit riches ou pauvres. L'appuie de l'argumentation clair et structurée, le discourt sur la misère avec « Les Misérable » de Victor Hugo. Dans ce roman l'auteur veut nous faire comprendre que les personnes peuvent changés, qu'il ne faut pas s’appuyer qu'au premier regard. Cherché à comprendre le pourquoi du comment. Dans « J'accuse » Émile Zola, il fait appel à la pertinence de ce qu'il avance. Comme le titre le fait remarquer, il accuse certaine personnes, pour libérer Alfred Dreyfus,

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