Le Cinéma Créateur De Mythes

I- Le cinéma crée des mythes (1-2-3-4)

A- Il constitue une forme d’art (1-2-3-4) en même temps qu’une industrie (1-3-4)

a) En temps qu’industrie le cinéma hollywoodien incarne bien la puissance économique du cinéma (1-2-3-4) par opposition au cinéma soviétique

b) L’art du cinéma accorde un rôle essentiel à l’image (1-2-3-4) et au montage (3)

c) L’auteur du film est le metteur en scène, l’acteur le matériel « humain ».

B- Le cinéma est créateur d’illusions (1-2-3-4)

a) Il fait appel à l’imaginaire (2-4)

b) Il utilise l’artifice (1-2-3-4) notamment le maquillage

c) Il joue avec le réel (2-3)

C- Son pouvoir sur les foules est immense (1-2-3-4)

a) Par les démultiplications (1-2-3-4) qui crie l’ubiquité (c’est un attribut de dieu qui consiste à être dans plusieurs endroits en même temps) chez l’acteur (2-4)

b) Par la fascination (1-3-4) engendre par le rôle de l’écran et du regard (1-4)

c) Mais c’est aussi le public fasciné qui fait le mythe (1-3-4)

II- Les raisons propres à l’acteur et en expliquant le culte de la vedette (1-2-3-4)

A- Les processus psychologique concernant l’acteur à l’œuvre dans le public (1-2-3-4)

a) Projection et identification (1-2-3-4)

b) Transfert et idéalisation (1-2-3-4)

c) Mouvement de l’inconscient collectif (1-2-3-4) renvoyant à des archétypes (1-2-3-4), ce qui explique la sacralisation (1-2-4) et a culte de la vedette (3-4)

B- L’incarnation de l’acteur en héros par le biais du personnage (1-2-3-4) n’est pas le fait de tout acteur (1-2)

a) La star, en effet, est un être mixte (1-4) et cette création suppose qu’il ait dialectique d’acteur et du rôle (1-3-4).

b) Cela explique aussi la création de stéréotypes (1-2-3-4) : la femme fatale américaine (3-4).

c) Le pouvoir de séduction ne tient pas nécessairement à la beauté (1-3-4) ni au sex appeal (2-4) ni au talent (2-3).

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