La collection

BERAET Vincent BTS CG 21

1. Le préambule

1. Les origines de la collection
2. Les types de collectionneurs

1. Le rapport à l’objet

1. La façon de collectionner
2. Le rapport à l’argent

1. Le rapport à la collection

1. Un besoin
2. Une source d’émotion

Dans notre société matérialiste du XXI -ème siècle, les objets nous envahissent et sont parfois adorés comme des idoles. Ils sont, selon chacun, utilitaires, artistiques ou source d’envie et ressorts de notre économie. C’est ainsi que la collection attribue aux objets une place toute particulière aux yeux des collectionneurs. Aussi, nous nous appuierons sur un article de Joelle Delvaux, « la passion de la collection » tiré du journal d’En Marche du 6 janvier 2005, puis un essai d’Erik Pigani, « les collectionneurs sont-ils névrosés ? », tiré de Psychologies de Juillet 2018. Le document suivant est un roman d’Honoré de Balzac, Le cousin Pons de 1847 et enfin une photographie intitulée « My Anime and Manga Room Tour Otaku Figures, DVDs, Books, Games, etc… ». De fait, on se demande dans quelle mesure les collections influencent-elles la vie des collectionneurs ? Tout d’abord, nous allons étudier le préambule à la collection, puis nous analyserons les différents rapports à l’objet et enfin les liens à la collection.

Nous allons aborder dans un premier temps le préambule à la collection : cette partie est composée de deux sous parties que sont les origines de la collection puis la définition de chaque type de collectionneurs.

1. Les origines de la collection sont multiples : elle peut être soit un effet de mode, un phénomène sociétal reconnaissable sur la photographie intitulée « My Anime and Manga Room Tour Otaku Figures » tout comme dans l’article « Les collectionneurs sont -ils névrosés ? ». Mais, comme le stipule cet article, cette origine peut être aussi les suites d’un héritage familial. A l’inverse, dans le roman d’Honoré de Balzac, la logique est toute autre puisque l’idée de collectionner des objets naquit lors d’un voyage scolaire à l’étranger.
2. En outre, collectionner mène à faire la lumière sur deux types d’individus, ci-joint dans l’article de Joelle Lavaux : des collectionneurs de placard et de vitrine. Les premiers d’entre eux ne cherchent pas du tout à montrer aux autres leurs trophées en restant discrets, à l’inverse des derniers qui eux exposent les objets sur des étagères, de façon très ordonnée et minutieuse, comme le montre la photographie.

Nous allons aborder dans un second temps le rapport à l’objet, c’est-à-dire la façon de collectionner et le rapport à l’argent.

1. La collection amène à suivre des chemins totalement opposés, à savoir que les adeptes de cette pratique s’orientent vers le stockage d’objets utiles, esthétiques visuellement comme nous le rappelle l’essai de Joelle Delvaux ; voir de chefs d’œuvres ou vers les objets sans grand intérêt et sans réelle valeur. Donc, le roman de De Balzac nous parle de réelles pièces de collection alors que l’article nous parle aussi bien de produits artistiques, utilitaires que d’objets étalés sur une vulgaire brocante.
2. Dans le roman de De Balzac, le collectionneur a dépensé tout l’héritage de ses parents (en premier lieu celui de son père et quasiment dans la foulée celui de sa mère) dans l’achat d’objets d’art et dans ses différentes quêtes tout autour du Globe. A l’instar du roman précité, l’essai de Mme Delvaux parle de remplir intégralement un véhicule, ce qui indique un caractère dépensier et excessif ; cette remarque peut être également valable pour les objets relatifs au style « manga » restant relativement coûteux. Malgré cela on apprend dans l’article de Pigani qu’un autre profil subsiste, à savoir les raisonnables, qui quant à eux, dépensent peu.

Nous allons aborder dans un dernier temps les conséquences de la collection, c’est-à-dire la collection comme étant synonyme d’un besoin et d’une source d’émotions.

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