La Vie Fixée Chez La Plante A Fleur

À partir de l'exploitation des documents et de l'utilisation des connaissances, montrer que les différences de morphologie florale entre les roses résultent de différences d'expression des gènes de développement.

Les fleurs étant des êtres vivants tous comme les animaux et les hommes suit le même principe d'organisation d'un individu, c'est-a-dire par par l'expression des gènes du développement.

Celui-ci est donc défini génétiquement, d'où l’existence de fleurs mutantes et de variantes, exemple des roses.Une fleur est constitué de quatre cercles de pièces florales concentriques : respectivement, en allant de l’extérieur vers l’intérieur, les sépales et les pétales qui sont des pièces stériles, puis les pièces fertiles avec les étamines qui sont les pièces mâles et les carpelles qui sont les pièces femelles.

Le document 1a, qui est la morphologie des roses plus précisément l'aspect montre que la rose sauvage Rosa gallica à des sépales, 5 pétales, beaucoup d'étamines et de nombreux carpelles au centre de la fleur. On remarque que les deux variétés cultivés sont différentes entres elles mais aussi de la rose sauvage. La variété cultivée 1 semblent présenter le double de pétales. La variété cultivée 2 présente quant à elle un nombre très grand de pétales.

Le document 1 b qui est diagrammes, dénombre les différentes pièces dans les deux variétés cultivés. Ce document nous montre qu'elles conservent un faibles nombre de sépales. On voit aussi que la variété cultivé 1 possèdent réellement le doubles des pétales de la rose sauvage donc 10 et la 2 en possèdent environ 120. Les étamines sont plus nombreuses, à peu près deux fois, dans la variété cultivé 1 que dans la variété cultivé 2 (environ 140 contre 70). C’est l’inverse pour les carpelles avec environ 80 pour la variété cultivé 2 contre seulement 50 pour la variété cultivé 1.

Les documents 2 (expression des gènes de développement floral et production des pièces florales) et 3 (expression du gène de développement floral de classe C) nous permettent de comprendre comment les trois gènes de développement de classe Abc s’exprime et génère ces 3 structures florales différentes. Le document 2 fournit le fonctionnement général de ces trois types de gènes. Quand les gènes A s'expriment il mettent en places les 2 pièces stériles sépales et pétales et les gènes C les 2 pièces fertiles, étamines et carpelles. Le choix entre les deux, pour les stériles comme pour les fertiles, dépend de l’expression ou pas d’un gène supplémentaire, le gène B. S’il ne s’exprime pas des sépales et des carpelles apparaissent sinon ce sont des pétales et étamines . On remarque aussi que, A s’exprime ou C mais jamais les deux en même temps comme cela est possible pour A et B par ex. ou C et B. Comme l’indique l’énoncé, si la zone d'expression des gènes de classe C est réduite, alors celle des gènes de classe A s'élargit et inversement.

Le document 3 permet de voir les territoires dans le bourgeon floral où s’exprime le gène C chez les trois roses étudiées. Celui de Rosa gallica permet de vérifier la théorie précédemment énoncée : l’expression du gène C se retrouve dans les tissus qui deviendront

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