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La Presse Française Entre Tutel Et Liberté

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Par   •  29 Janvier 2013  •  592 Mots (3 Pages)  •  917 Vues

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La presse est perçue de plus en plus comme un contre-pouvoir, c’est ce que nous montre les trois documents étudiés : le premier intitulé « Des traditions journalistiques originales » extrait de La Presse française par Pierre Albert ; le second et le troisième, des articles de journal, extraits de Portrait d’un quotidien, supplément du Monde de février 1998 : « Hubert Beuve-Méry, le fondateur (1902-1989) » et « Le médiateur en position d’arbitre » de Thomas Ferenczi.

La presse Française entre tutelle et liberté ?

En confrontant ces trois documents nous avons put constater que la presse est un métier d’influence et que le journaliste rechercher sa liberté et son indépendance.

En effet, la presse est un métier d’influence car le statut des journalistes professionnels dépend directement de leurs employeurs, la presse n’est pas totalement indépendante.

Jusqu’à la fin du XIXe siècle la presse fut surveillée et sous le contrôle de l’Etat. Lorsqu’il a été appelé à diriger « le monde », Hubert Beuve-Méry recherché avant tout de préserver son indépendance politique et financière.

La presse est complètement soumise aux règles de l’argent car les journalistes servent l'intérêt public et non des intérêts personnel ou particulier. Ils ont le devoir de publier ce qui est d'intérêt public. Pour enrichir le commerce, les médias développent nos besoins, nos tendances, nos désirs et sollicitent en permanente nos appétits consommateurs dès l’enfance. Ceci dans le désir de servir des sources d'informations ou de favoriser la situation financière et concurrentielle des entreprises de presse.

Le journalisme français est un journalisme d’expression, il préfère la chronique, le commentaire à la relation des faits et il est différent du factuel anglo-saxon selon lequel la nouvelle doit être nettement séparée de son commentaire et du journalisme allemand, plus préoccupé de traiter des sujets que décrire des faits comme cela est expliqué dans « la Presse Française » de Pierre Albert. Enfin il faut bien admettre qu’en France, pour se faire un nom dans le journalisme, il vaut mieux être un homme de lettres comme site Hubert Beuve-Méry en nommant Péguy et Zola.

Cependant, la presse recherche de la liberté et son indépendance, notamment la recherche de l’esprit critique, le public recherche le scandale et la nouveauté. Il faut être plus sévère et oser de dire la vérité et toute la vérité sans avoir peur du retour.

Le journalisme n’est plus se qu’il était maintenant il faut émouvoir et divertir les lecteurs.

Il reste le développement de l'autocensure qui rend cependant la presse sujette au politiquement correct, et donne l'impression que les journaux développent les mêmes sujets et les mêmes idées. Il existe alors une perte de crédibilité dans les medias. Les médiateurs eux, vérifient que la presse s’autorégule et limitent les abus du pouvoir grandissant des journalistes, ils jouent le rôle d’intermédiaire entre le journaliste et le lecteur. La presse ne sera vraiment jamais libre malgré ses efforts car les médiateurs rappellent au rédacteur les règles à ne pas transgresser.

Pour finir, Le métier de journaliste est devenu

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