LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

L'influence de la rentabilité et le prix de l'essence suggèrent un nouveau changement

Analyse sectorielle : L'influence de la rentabilité et le prix de l'essence suggèrent un nouveau changement. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  28 Octobre 2014  •  Analyse sectorielle  •  1 146 Mots (5 Pages)  •  767 Vues

Page 1 sur 5

Nous pouvons nous demander de savoir pourquoi la consommation est-elle si importante dans une économie et plus particulièrement en France.

Les facteurs sont des agents, éléments concourant à un résultat ; à une cause. La consommation est la destruction immédiate ou progressive de biens ou de services dans le but de satisfaire des besoins. Par la consommation, les besoins humains seront satisfaits. Cette destruction donne du sens au circuit économique puisque la satisfaction des besoins n’est que provisoire et il faut ensuite, entamer un nouveau cycle de production, répartition et consommation. L’évolution de la consommation au fil des ans dépend des producteurs et de l’État. Une évolution se définit comme un passage progressif d'un état à un autre.

La consommation étant à la fois un acte économique et un acte social, il est nécessaire de rechercher des explications économiques mais aussi plus sociales ou psychologiques qui l’expliquent. Quels sont les nombreux facteurs qui expliquent la consommation et son évolution?

L’on verra d’une part, les revenus et les prix qui influencent les choix des consommateurs (I) et d’autre part, le comportement des consommateurs déterminant la consommation des ménages (II).

I. L’influence des revenus et des prix sur les choix des consommateurs

Nous verrons tout d’abord, les apports théoriques et ensuite, l’impact des prix et des revenus sur la consommation des ménages en France (actuellement).

A. Les apports théoriques

Il y a l'analyse macroéconomique de la consommation.

D'une part, la loi psychologique de J.-M. KEYNES (1883-1946) impose une relation décroissante entre la consommation et les revenus.

Cet auteur montre, dans son ouvrage La théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie (1936) que le principal déterminant de la consommation est le revenu disponible de la période courante ; ce dernier étant le revenu dont disposent les consommateurs après paiement de leurs impôts. Ainsi, le niveau de consommation globale est déterminé par le niveau de revenu.

La propension moyenne à consommer exprime la part de revenu destiné à la consommation. La propension marginale à consommer exprime l'accroissement supplémentaire de revenus consacrés à la consommation. Cette propension marginale à consommer est constante.

D'autre part, la théorie du revenu permanent de M. FRIEDMAN (1912-2006) met en avant une relation proportionnelle entre la consommation et les revenus.

M. FRIEDMAN propose une théorie de la consommation déterminée par le revenu permanent : c'est le revenu potentiellement disponible pendant la vie des consommateurs. Les ménages consomment en fonction de leur richesse totale qui tient compte des revenus présents et futurs.

B. L’impact des prix et des revenus sur la consommation des ménages en France (actuellement)

La consommation est malmenée par un pouvoir d'achat dégradé et est chahutée par la montée du chômage. La consommation chancelle mais ne tombe pas comme le montre les derniers chiffres, elle a parfaitement résisté cet été ; en déperdition en juillet avec -0,7 %, les achats des ménages en biens se sont repris dès le mois suivant (+0,7%) si bien qu'à la sortie d'août, l'acquis de croissances ressort à 0,5 points. La consommation en France progresse ou au pire se fige en périodes difficiles, il s'agit d'une exception française ; la comparaison avec le reste de la zone euro le prouve. Un emploi sur quatre est sécurisé et les revenus afférents avec. Le nombre de ménage s'élève en moyenne à deux-cent-soixante-quinze milles par an, cela représente près d'1,4 million de foyers en plus de 2009 à 2013. Fin 1998, le patrimoine net des français s'élevait à 4 000 cent-milliards d'euros soit une moyenne de 160 000 euros pour chaque ménage. Fin 2013, il atteint plus de 10 000 cinq-cents-milliards soit 370 000 euros environ ; une hausse en liaison avec la flambée immobilière.

...

Télécharger au format  txt (7.7 Kb)   pdf (96.2 Kb)   docx (10.8 Kb)  
Voir 4 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com