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L'esclavage Dans La Littérature

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Par   •  14 Janvier 2014  •  499 Mots (2 Pages)  •  4 134 Vues

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L’esclavage dans la littérature

L'esclavage est un sujet délicat à traiter dans la littérature en générale. La période de l'esclavage du moins celle la plus souvent traitée, est celle qui se situe entre la découverte de l'Amérique jusqu’à l’abolition de l’esclavage en Amérique.

De quelle manière la littérature aborde le sujet de l’esclavage ?

Étymologie

De esclave et -age, du latin sclavus (« Slave »). Les premiers esclaves étaient des Slaves, ils ont donc laissé leur nom aux esclaves et à l’esclavage.

a) L’Origine des idées

L’esclavage existant depuis l’antiquité et aucune prise de position face à cet acte considéré comme normalité ; il faudra attendre le XVIIIème Siècle « siècle des lumières » éclairé par des philosophes et écrivains pour débattre sur ce sujet et condamner la condition inhumaine infligée aux esclaves qu’il s’agisse d’hommes, femmes, enfants et vieillards. Ces penseurs qui ont dénoncé par des écrits et des essais le sort réservé aux esclaves privés de leur liberté naturelle, peu importe leur race, leur religion, leur culture ou couleur de peau. Le XVIII siècle est le siècle de l’échange et du débat de la pensée pour une société juste et égale. Ces idéaux d’égalité et de liberté se sont propagés progressivement et lentement sur tous les continents, favorisant l’émergence abolitionniste de l’esclavage. Ces idéaux n’ont pu se concrétiser que dans la douleur et le sang versé de ces esclaves sacrifiés sur l’autel des privilèges esclavagiste.

b) L’influence des idéaux dans les romans

Les idées de liberté et d’égalité ont influencé des auteurs à écrire des romans par rapports à leurs observations sur le terrain ou à travers des témoignages mettant en scène un esclave qui cherchant à retrouver la liberté. Les auteurs qui dénonçaient l’esclavage à travers leurs romans avec la souffrance, le mépris, la haine et la mort. La publication de ces romans a été mal perçue par une catégorie de la société très attachée à leurs privilèges esclavagistes. Certain livres gênaient les pro-esclavagistes pouvant entrainer autre qu’une simple critique de leur part (exemple : La case de l’oncle Tom qui fut l’un des facteurs de la guerre sécession aux Etats-Unis). Ce style de livre influença grandement le développement non seulement de la littérature engagée en général mais aussi des prises de politiques pour l’abolition pure et simple de l’esclavage.

c) Les critiques des esclavagistes

Les esclavagistes répondirent aux idées des écrivains et philosophes avec des termes d’économies et raciales. Un esclave n’est pas considéré comme un homme mais comme une chose que l’on peut vendre ou acheter. Le maître a tous les droits y compris les droits de vie ou de mort. Ces personnes tentaient de persuader l’opinion publique que l’esclavage est indispensable pour l’économie d’un pays car en cas d’abolition de l’esclavage cela reviendraient à ruiner le pays.

Conclusion

L’esclavage était un bon moyen de s’enrichir et d’augmenter

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