Indice Stomatiques- En Fonction De La Teneur En C02

La conservation des bulles d’air dans les glaces permet des mesures directes du taux de CO2 de l’atmosphère sur les 800 000 dernières années.

Pour les temps plus anciens, on utilise des méthodes indirectes. Une des méthodes repose sur l’observation des feuilles fossiles : on mesure l’indice stomatique c’est-à-dire le % de cellules stomatiques par rapport au nombre de cellules totales de l’épiderme d’une feuille.

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2) On remarque que plus la teneur en CO2 atmosphérique augment et plus l’indice stomatique de feuilles de Chêne diminue

3) Cette relation peut servir à interpréter les données du document 2 en terme de variation de CO2 atmosphérique entre -10 et -2 Ma car plus indice stomatique a un faible pourcentage, plus la teneur en CO2 atmosphérique est élevée.

4) On peut supposer que lorsque l’indice stomatique diminue, cela supposerai que le climat se refroidit.

5) Entre -10 et -8 Ma l’indice stomatique varie entre 12,5 et 12% donc la teneur en CO2 atmosphérique était proche de la teneur en CO2 atmosphérique de 1976. Donc le climat était froid entre -10 et -8 Ma. Vers -6,5 Ma l’indice stomatique a fortement augmenter (16,2%) donc le climat c’est probablement réchauffer car il y avait moins de teneur en CO2 atmosphérique. Puis entre -4,5 et -2,5 Ma, l’indice stomatique a fortement diminué (11,5 à 9,5%) donc le climat a du être plus froid qu’entre -10 et -8 Ma et que le climat de 1991.

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