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G.P.A.O. T.P.

Étude de cas : G.P.A.O. T.P.. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  11 Février 2019  •  Étude de cas  •  1 350 Mots (6 Pages)  •  498 Vues

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TP GPAO : Gestion production d’une monture de lunette

[pic 1]

  1. Introduction

Problème de gestion de production considéré

Une petite usine à lunettes, située à […], près de […] fabrique des montures de lunettes en métal, présentées ci-dessous.

[pic 2]

Monture type

Cette usine propose dans son catalogue propose différentes montures en métal avec plusieurs profils, ordinaires aussi bien qu’extravagant. Le problème consiste à planifier et organiser la production d’une monture.

Pour ce faire, on dispose bien entendu de l’ensemble des informations nécessaires, qui seront saisies progressivement dans cet exercice.

  1. Le produit considéré

Une monture « type » se compose de 2 cerclages permettant d’accueillir les verres (constitués tous deux par une tige de longueur 0.26m, d’un insert et d’une charnière), afin de les fixer, on y brase un pont. De plus pour le confort du consommateur on ajoutera toujours par brasage deux supports de plaquettes. Pour enfin, ajouter à l’ensemble une paire de branches, préalablement gravées (indiquant la marque et la longueur).

Sa fabrication débute sur une plieuse, qui en façonne les contours sur 3 axes. Un fil en alliage d’argent et de nickel est acheminé sur des rouleaux pour être pliée en forme de monture. Il est ensuite coupé très précisément. Les verres vont s’insérer parfaitement dans les ornières formées à l’intérieur.

Une petite pièce appelée, l’insert réuni les deux bouts du cerclage et l’étends autour du verre. Pour fixer ce dernier, on le met dans une serre puis on positionne la monture. On applique ensuite le flux et le fil d’apport. Un courant électrique chauffe le tout jusqu’à ce que la fusion se fasse et unisse tous les morceaux. On répète ensuite l’exercice cette fois pour fixer les charnières qui uniront les branches à la monture. La fusion est encore une fois réalisée et la charnière est fusionner avec l’insert. C’est un procédé semblable à la soudure nommé, brasage.    

        La création du pont, composant permettant d’unir les deux cerclages est réalisé par pliage à l’aide d’une presse. Le fil est précisément plié avant que l’ouvrier le positionne à l’aide d’un gabarit qui garantit que tout est droit et bien aligné. Encore une fois, on fusionne l’ensemble.

        Les supports de plaquettes, élément permettant le maintien des coussinets qui aideront au confort. Un ouvrier fusionne les petits supports à la monture.

        Les branches, ses tiges qui sont attachés à un bout de la monture et qui reposent sur les oreilles à l’autre extrémité. On grave dessus le nom du fabricant et la grandeur de la branche. Pour enfin, assembler une charnière à un bout.

  1. L’usine considérée

L’usine est essentiellement constituée de poste brasage permettant la fixation des éléments entre eux, d’un poste de gravure afin de renseigner sur les branches la marques et la longueur de ces dernières et d’un poste de montage.

  1. Définition des postes de charges[pic 3]

Dans cette partie, sont présentés les informations qui décrivent les moyens de production (poste de brasage, poste d’assemblage…), décrits à ce niveau sous la forme de postes de charge, et les procédures de fabrication.

Les postes de charges servent à effectuer des actions sur la matière ou sur des produits. Dans le cadre de ce TP, il faudra :

  • Poste de brasage : afin de fusionner les différents composants de cette monture type, tels que les inserts, les charnières etc.
  • Poste de montage : afin d’assembler toutes les pièces ensemble et d’obtenir notre produit fini
  • Poste de gravure : afin de graver le nom du fabricant et la longueur des branches composants la monture étudiée.

        [pic 4]

        

Ceci est le poste de brasage, il servira à fusionner différentes composantes de notre produit. La machine utilisée sera un fer à souder. L’entreprise ne dispose que d’un poste pour cette opération. Elle paie ses employés à 10 euros de l’heure avec comme frais généraux variables 10%.

Il est important de remplir le taux de main d’œuvres (MO) ainsi que les frais généraux véritables (FGV MO) afin de prendre en compte les coûts de production.

[pic 5]

NB : N’ayant pas assez de place certains noms changent par rapport à la nomenclature.

  1. Création des fournisseurs

Les articles achetés sont approvisionnés via des fournisseurs qu’il faut préciser. On a renseigné ici, la liste des fournisseurs utilisés lors de ce TP. La création des fournisseurs et leurs informations se font dans la fenêtre « Création fournisseurs » (dont le code est 2.3.1). Dans la conception de notre monture type, 3 fournisseurs interviennent pour permettre la production de cette dernière.

Code Fournisseur

Nom

Four1

[…]

Four2

[…]

Four 3

[…]

Il est important de numéroter les fournisseurs lors de la création dans la base de données (ex : four1…) car dans notre cas nous sommes fournis par le stock de […] mais il se peut qu’un jour nous soyons fournis par le stock de […]. Nous ne pouvons pas entrer deux fois le même nom pour deux stocks.

Lors de l’entrée des informations, il est essentiel de préciser le code état afin de pouvoir être taxer selon les taxes de notre pays (dans notre cas FR). Ce sont les achats qui sont taxés ici.

  1. Créations des clients

L’entreprise fabriquant les montures de lunettes n’est pas encore très connue. En effet, elle n’a pour l’instant qu’un client, nommé […], une enseigne proposant une large gamme de monture.

[pic 6]

Comme pour les fournisseurs, il convient d’indiquer le code de l’état afin d’être taxer selon les taxes du bon pays. Ce sont ici, les ventes qui sont taxés.

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