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Extrait d'un texte: Coup De Foudre A Venise

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Par   •  16 Décembre 2014  •  393 Mots (2 Pages)  •  1 471 Vues

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Coup de foudre à Venise

Leonardo , jeune provincial de vingt ans vient de finir ses études. Grand amateur d’art, il se rend à Venise pour voir une exposition artistique dans le somptueux Palais des Doges.

En cette matinée de fin de printemps de l’année 1634, je marchais à pas pressés le long du Grand Canal en direction du Palais des Doges, lieu où l’exposition annuelle d’art se déroulait. Je sentais le vent frais sur mon visage. En partant de chez moi, j’avais oublié que se tenait le Carnaval de Venise ce jour-là.

Je voulais arriver rapidement au Palais pour être l’un des premiers à y entrer et pour éviter la foule trop importante qui serait présente dans la ville aux environs de midi.

Le soleil était présent malgré le vent ce jour-là et se reflétait dans l’eau du canal. Plus tard, la ville serait recouverte de déguisements et de gondoles colorées .

Au détour d’une ruelle, le majestueux bâtiment de pierre et de verre se dressait devant moi et je pus observer une petite foule de visages découverts devant la porte d’entrée.

L’intérieur était somptueux, le subtil mélange d’architecture et d’œuvres d’art rendait les lieux imaginaires, tirés directement des rêves les plus beaux.

Quelque chose attira mon esprit. Ou plutôt quelqu’un . Je me déplaçai pour mieux le voir et là, debout dans un coin de la salle, la plus belle vision que j’eus de ma vie s’offrit à moi et me fit oublier tout ce qui m’entourait, aussi ravissant que cela pouvait être. Je vous parle d’une jeune femme aux cheveux blonds, le regard bleu perdu dans le néant artistique. A ce moment la , tous mes sens furent boulversés et je trébuchai par terre , abasourdis par cette beauté.

Comme un aimant, je m’avançais vers elle et, quand elle me regarda , par timidité je fis mine de regarder les nuages . Qu'elle était belle ! Cette beauté féminine conquit mon cœur avec l’armée de Cupidon.

Je demeurais là, à la contempler dans toute sa splendeur, et il me semblait que toute la lumière que produisaient les lustres s’était concentrée sur elle.

Je remarquai ses yeux couleur azur se poser sur chaque édifice . Je me hissai alors en haut d’un pont, juste à temps pour la voir monter dans une gondole et disparaître en même temps que mes rêves d’amour, dans le brouillard vénitien ….....

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