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Economie Droit CNED: les biens publics

Dissertation : Economie Droit CNED: les biens publics. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  18 Février 2013  •  1 678 Mots (7 Pages)  •  1 639 Vues

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DEVOIR V9717-D1 /1

DEVOIR 3 ECONOMIE GENERALE DROIT

NOM : NBIA

Prénom : CARL

Questions

1

Les biens publics sont, en science économique, des biens ou des services dont l’utilisation est non rivale et non exclusive, Ils bénéficient à tous les individus. La non-rivalité d’un bien signifie que sa consommation par un individu n’empêche pas la consommation du même bien par un autre individu. Selon Charles kindleberger, l'idée que les biens publics devaient, être fournis par une grande puissance hégémonique, les Etats-Unis en l'occurrence. Cette idée, émise par un économiste plutôt classé à gauche est reprise par les néo-conservateurs américains. Pour différencier un bien public, Pour être qualifié de bien public « pur », un bien doit être à la fois non rival et non exclusif (Exemple : la sécurité internationale). Or, la majorité des biens publics mondiaux ne respectent qu’une seule de ces deux conditions et sont alors qualifiés de biens publics « impurs ».

Les biens communs, pour lesquels la condition de non-rivalité ne se vérifie pas du fait de la saturation possible de ce type de biens ;

Les biens de club, pour lesquels la condition de non-exclusivité est absente du fait de la possibilité d’en réglementer l’accès.

2

Les biens publics mondiaux relèvent de l’intérêt général des nations. Ils sont indispensables à leur fonctionnement social et

Économique dans un contexte de mondialisation et d’interdépendance croissante entre les pays. Cependant, ils répondent,

Suivant leur nature, à des problématiques distinctes et exigent ainsi des réponses différenciées.

Le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) a proposé de regrouper les biens publics mondiaux en 3

Grandes catégories :

La première catégorie regroupe les biens publics mondiaux naturels, tels que la stabilité climatique ou la biodiversité. Le problème auquel est confrontée la communauté internationale est la surutilisation de ces biens, et donc leur épuisement ;

La deuxième catégorie correspond aux biens publics mondiaux d’origine humaine, tels que les connaissances scientifiques. Pour ce type de biens, l’enjeu principal est leur sous-utilisation : ils sont difficilement accessibles, pour certains pays, défavorisés ou peu informés (les pays pauvres, par exemple) La troisième catégorie, dénommée « résultats des politiques globales des nations », inclut la paix, la santé et la stabilité du système financier international. Le problème d’action collective est, dans ce cas, un problème de sous production : correspondant à un processus continu de production collective entre les États, le degré d’implication, de ces derniers est parfois insuffisant pour répondre à la taille de leurs enjeux.

3

Selon l’OCDE, le capital humain recouvre « l’ensemble des connaissances, qualifications, compétences et caractéristiques individuelles qui facilitent la création du bien-être personnel, social et économique. » « Il constitue un bien immatériel qui peut faire progresser ou soutenir la productivité, l’innovation et l’employabilité. »

Cette théorie du capital humain présente des apports certains mais non sans limite.

Le capital humain est aujourd’hui un investissement pour les salariés. En effet, par le biais de la formation tout au long de sa vie, l’individu peut accéder à de nouveaux savoirs ou de nouveaux savoir-faire tout en préservant ceux déjà acquis par une formation initiale ou par observation dans toutes les situations de travail qu’il a pu connaître. Ces savoirs vont favoriser une meilleure compréhension du monde qui l’entoure, une insertion sociale plus aisée, et une productivité accrue. Chaque individu est libre de choisir de faire des études et leur durée afin de rentabiliser l’investissement de la formation. Les individus peuvent améliorer leur productivité par des actes volontaires d’investissements qu’ils soient directs (formations proprement dites) ou indirects (observation, périodes travaillées). Ce capital humain représenté par les salariés a un rôle économique essentiel.

Celui-ci n’est pas méconnu des entreprises, bien au contraire. Toutefois, celles-ci ont pour objectif la rentabilité de ce capital humain. Comment le rentabiliser ? Notamment en cherchant à transformer un savoir-faire en capital physique pouvant être immobilisé. Par exemple, au Japon les entreprises offrent des emplois à vie. Le capital humain immobilisé est rentabilisé par le fait que le salarié est formé, accède à des grades plus élevés tout en moyennant une rémunération. Ainsi, l’idéal serait que les entreprises investissent de manière plus équitable dans le développement des compétences pour favoriser la croissance.

4

L’amélioration de l’eau potable est un investissement économique et sociale essentiel pour les populations et états car, plus un pays se développe, plus ses besoins en eau augmentent : c'est le cas des pays émergents et des géants démographiques comme la Chine et l'Inde. En raison de leur mode de vie et de leur développement économique. Un pays dont l’accès a l’eau potables est accessible pour toute sa population évitera des dépense futur du a des maladies transmise dans une eau non potable et non traiter, cela lui évitera de faire face à des épidémies de maladies. L’eau est une source vitale pour le bon fonction de notre corps et elle est encore plus importante a une tranche cruciale de notre vie comme

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