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Débat "Francais" lors d'une fête de fin d'année

Compte Rendu : Débat "Francais" lors d'une fête de fin d'année. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  2 Février 2013  •  576 Mots (3 Pages)  •  845 Vues

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A chaque fête de fin d'année, mon quartier a pour habitude de nous

regrouper autour d'un bon dîner et d'un débat qui diverge chaque année.

Le 29 juin 2012, le débat se portait sur le thème “le rôle de la littérature est-il de faire rêver? ”. Un débat qui, on peut dire, n'a pas mit tout le monde d'accord. La gardienne du quartier, Madame HENRI était d'accord à 100% ! Cela ne m'étonnait pas car, tous les matins en allant à l'école je pouvais l'apercevoir bouquiner, et chaque jour le livre était différent.

“- Eh bien pour moi vous savez, lire est synonyme de délivrance. Dès que je plonges mon nez dans un livre tous mes problèmes disparaissent, à des moments j'oublis même dans quelle pièce je suis. C'est étonnant !” s'exclame Madame HENRI en riant.

Au même moment au fond de la salle, une voix assez grave prend la parole :

“- Madame HENRI voyez-vous, je ne suis pas du tout d'accord. Pour moi, cela dépend directement du genre de la littérature. Dans la lecture de certaines histoires, mes inquiétudes augmentent considérablement que ce soit en rapport avec mes enfants ou ma femme.” Dit Monsieur VOPARY d'un air triste.

Monsieur VOPARY est mon voisin de palier, au début de notre enménagement on pouvait deviner le bonheur qu'il vivait au côté de sa merveilleuse famille. Mais plus les années passèrent et plus on pouvait remarquer que son bonheur se déchirait. Pour quelle raison ? Personne ne le savait car il se renferma sur lui même, c'est d'ailleurs pour cela que personne n'avait remarqué sa présence avant qu'il ne prenne la parole.

En les écoutant tous parler, mes idées sur ce thème s'emmêlé. Certes d'un côté, lorsque je commence la lecture d'un livre je plonge directement dedans, surtout pour les histoires romantiques. Mais de l'autre côté je comprends ce que Monsieur VOPARY veut nous faire comprendre, car pour certaines histoires, des inquiétudes, des doutes peuvent apparaître chez le lecteur et se répercuter sur sa vie privée.

Suite au propos de Monsieur VOPARY, un instant de silence s'installa, je décida alors d'exprimer mon point de vu :

“- Je suis d'accord avec vous deux, Madame HENRY et Monsieur VOPARY, mais avec du recul, l'auteur des histoires principalement romantique et fantastique, est certes écrit pour faire rêver et s'envoler dans un monde imaginaire ou dans une vie meilleure. Mais il y a aussi d'autre genre de littérature qui sont faites avec des histoires mystérieuses, et sans le vouloir l'auteur engendre différentes sensations chez le lecteurs qui correspondront à sa vie privée. Pour mieux me faire comprendre, je vous donnes un exemple parmi tant d'autre qui me passe par la tête :

{une femme qui suspect son mari de la trompée, suite à plusieurs détails remarqués. Mais elle n'a aucune preuve réelle, donc elle va le dissimuler. Mais dès lors qu'elle lit une histoire identique à la sienne, les doutes qu'elle a mit de côté réapparaiteront et se répercuteront sur

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