Diagnostic et évaluation de la situation de la gouvernance au Maroc

PREMIERE PARTIE : Diagnostic et évaluation de la situation de la gouvernance au maroc

1-Definition et piliers de la bonne gouvernance

2-Déséquilibre de la Gouvernance au Maroc

3- Evaluation des efforts pour amelioere la gouvernance

4-Principales oriontation pour ameliorer la gouvernnace

Deuxieme Parties : Bases constitutionnelles des régles de la bonne gouvernnace (nouvelle constitition 2011)

Séparation , equilibre et cooperation de spouvoirs

gouvernance et la consolidation des fondements de l’intégrité, de la transparence et de la responsabilisation conformément à des orientations principales, notamment :

 renouvellement des approches de planification comme moyen efficace pour la bonne gouvernance par la promotion d’une culture de responsabilisation, l’évaluation des programmes et des projets, la mise en œuvre de mécanismes de veille stratégique et la connaissance approfondie de la société ;

 rationalisation et interactivité du système de prise de décision, en orientant les efforts vers plus de transparence pour les acteurs politiques, économiques et sociaux ;

 mise en place d’une administration citoyenne moderne , se caractérisant par des structures administratives stables, par la valorisation des ressources humaines, la coordination et l’intégration des politiques publiques et la rationalisation de la gestion publique ;

 promouvoir l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité du

système judiciaire ;

 : donner un nouveau souffle à la politique de décentralisation, comme principal domaine pour étendre la portée de la pratique démocratique, favoriser l’organisation de la politique de proximité et la participation de la population et à surmonter la complexité et la lenteur des procédures de prise de décision ;

 moralisation globale de l’environnement des affaires, en renforçant les mécanismes nécessaires pour garantir la concurrence et assurer la liberté des marchés et la prévention de toutes les pratiques illégales ;

 lutte contre la corruption, selon une approche globale et participative qui intègre des mesures préventives, contraignantes et éducatives, impliquant tous les acteurs du secteur public et privé et la société civile, visant la consolidation d’un système

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